Cette semaine vous aurez droit à un plat de gourmands, puisqu'il s'agit d'un deux-en-un concocté par l'habile Conti. Le mur du son, c'est par là:


C'est vraiment une super bonne idée, vous devriez faire cela plus souvent! Les musiciens de session qui sont spécialisés dans l'exercice sont en train de disparaître peu à peu alors qu'ils souvent extrêmement doués. Il faut les défendre!l'annonce de l'interview d'un instrumentiste
Bravo aux 2 rédacteurs de ce passionnant dossier, acte I.Lee Van Cleef a écrit :Notre Ecclésiastique qui sait tout et entend tout s'était déjà essayé, dans un passé guère éloigné, à l'exercice biographique autour de nul autre que maître Jerry. Le résultat, soulagé de quintaux superfétatoires de viande, tout en traits durs et presque osseux même, impressionnait par sa concision. Mais aujourd'hui, pour son retour en fanfare, l'excessivement rare Stéphane (secondé ici par son camarade Domi) met les petits plats dans les grands : les parenthèses s'ouvrent et se ferment avec une rapidité égale à celle des portes claquant dans un vaudeville, les détails à la loupe tombent aussi dru que des hallebardes, la minutie est reine. Un conseil, gentlemen, munissez-vous de quelques rafraichissements avant d'attaquer l'ambitieux ouvrage.
AH-AH-AH ! Un des premiers nanars vu sur Canal + du temps de mon adolescence perturbée ! Quel souvenir !Lee Van Cleef a écrit :Corona-flétrissure oblige, le sort de Noël ne tient déjà plus qu'à un fil, cette année. Le joufflu tout de rouge vêtu (non, non, pas Hellboy, voyons !) se tirera-t-il des griffes des scientifiques despotes et férus de prédictions aux miasmes d'apocalypse ? Le suspense reste entier ! Au contraire d'Halloween, dont le cas est bel et bien réglé... sauf sur UnderScores, où le vieux Van Cleef n'entend pas fausser compagnie à nos pauvres chers monstres esseulés, fussent-ils méga-craignos.
Nervous breakdown garanti à la lecture des élucubrations sans appendice caudal ni dôme crânien dont le vieux Van Cleef aime à faire le gluant étalage ! Et pourtant, ami Sam, tu as plutôt brillamment synthétisé le chaud et le froid que Rawhead Rex souffle tout à tour. Il y a vraiment à boire et à manger là-dedans, et nombre de passages, si d'aventure tu succombais à la tentation, ne manqueront pas de porter ton menton à la rencontre de ta musculeuse poitrine. Pour ma part, j'ai choisi de considérer le verre à moitié plein. A toi désormais de choisir.Sam Lowry a écrit :Camarade Lee, ton texte, aussi bien agencé soit-il (comme de coutume), me laisse choir dans des abîmes de perplexité....![]()
Hmmmm.... je ne sais pas si, avec tout ça, je suis capable de trancher.... D'autant que je suis tenté par bien d'autres choses en ce moment..... En tout cas, merci pour ton papier, Cher Lee.Lee Van Cleef a écrit :Nervous breakdown garanti à la lecture des élucubrations sans appendice caudal ni dôme crânien dont le vieux Van Cleef aime à faire le gluant étalage ! Et pourtant, ami Sam, tu as plutôt brillamment synthétisé le chaud et le froid que Rawhead Rex souffle tout à tour. Il y a vraiment à boire et à manger là-dedans, et nombre de passages, si d'aventure tu succombais à la tentation, ne manqueront pas de porter ton menton à la rencontre de ta musculeuse poitrine. Pour ma part, j'ai choisi de considérer le verre à moitié plein. A toi désormais de choisir.Sam Lowry a écrit :Camarade Lee, ton texte, aussi bien agencé soit-il (comme de coutume), me laisse choir dans des abîmes de perplexité....![]()
Merci Stéphane pour cette piqure de rappel bienvenue à l'approche des fêtes, elle m'a remis sur le droit chemin de la bonne santé musicale. Voilà qui va me permettre, en cette époque réputée pauvre en valeurs et perspectives, d'offrir une voix vers la transcendance béophilo-symphonique à quelques brebis égarées. C’est toujours ça de pris !Lee Van Cleef a écrit :Peu loquace en règle générale, Stéphane fait actuellement des pieds et des mains pour escoffier la sinistrose et ventiler le smog jaunâtre de l'hypocondrie qui partout sévit. Le voici déjà de retour avec ce coffret mastoc où s'agglutinent dans un joyeux pêle-mêle les héros des temps révolus d'Hollywood. Evidemment, immergé jusqu'au cou dans ces eaux symphoniques tempétueuses, notre compagnon jubile. Curieux, soit dit en passant, que cette chronique n'ait point trouvé le chemin de l'indispensable rubrique Redux...
Si tu fais référence à tes sympathiques voisins, je doute fort qu'ils sachent apprécier à sa véritable valeur l'altruisme musical dont tu es l'irréprochable porte-étendard.Dadid a écrit :Voilà qui va me permettre, en cette époque réputée pauvre en valeurs et perspective, d'offrir une voix vers la transcendance béophilo-symphonique à quelques brebis égarées.