 |
Toujours aussi entreprenant et enthousiaste, Daniel Pemberton chorégraphie cette nouvelle aventure avec ce même entrain punchy et cette même grâce ludique teintée d’espièglerie qui à eux deux faisaient déjà tout le charme du précédent opus : une farandole dansante, gaie et souriante à déguster sans modération. Bonheur#2 donc.
 |
 |
Après Emily de Korzeniowski, la musique de Pemberton est une vraie bouffée d’oxygène. Le compositeur est donc de retour pour une seconde aventure musicale, qui s’avère tout aussi jouissive que la précédente. Alors, si vous avez aimé le score du premier épisode, vous vous régalerez assurément avec celui-ci. Élémentaire, mon cher Watson !
 |
 |
Entraînant et guilleret comme son aîné, les passages les plus « dansants » et rythmés sont les meilleurs. Les morceaux plus dramatiques, de menace et de suspense surtout, manquent un peu de consistance et les thèmes un peu moins mémorables. Divertissant, coloré et léger, l’album met de bonne humeur !
 |
 |
Une fois encore, cette nouvelle aventure d’Enola rend gai. Le film, fun quoiqu’un peu téléphoné par instants, est soutenu par une musique vive, espiègle et très agréable. Tout le talent de Pemberton est de reprendre les thèmes précédents, d’en ajouter d’autres et de faire en sorte que tout se tienne.
 |
 |
Vraiment chouette cet opus 2. Pemberton s’éclate sur ce projet et ça s’entend. L’ami Danny reste quand même sur See How They Run, Amsterdam et cet Enola Holmes 2. Tiercé gagnant ! Un peu stakhanoviste sur les bords, comme l’ami Bear. Lui aussi doit avoir une belle équipe. Et ça fait du bien ces deux p’tits gars dans la musique de film !
 |