Enfant dans les années 1980, l'infection se manifeste par le fredonnement incessant de musiques de films en jouant avec ses G.I.Joe. Plus tard, les symptômes s'aggravent avec le magnétophone collé à la télévision pour enregistrer des béos et les écouter le soir en cachette. Le diagnostic est définitif en 1991 avec prescription à Noël de disques Spielberg/Williams et Star Wars. Se shoote toujours principalement au cocktail « Poledouris, Silvestri, Kamen, Elfman » entre deux cures de Williams ou Goldsmith. Dernières rechutes dues à des excès de Beltrami et de Giacchino.