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Pour Pemberton, l’opportunité d’un scherzo de l’Aventure avec un grand A, ce dont il s’acquitte avec un enthousiasme manifeste, signant une partition vive, gaie, menée avec élégance et grâce au travers d’un thème alerte et de ses variations entreprenantes, de rythmes souvent dansants et d’action menée tambour battant. Bonheur.
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Dan enchaîne les commandes comme un forçat et ça se sent ! Enola Holmes, avec son canon holmesien twisté, son mélange de mystère et d’action, sa proximité avec les univers de Guy Ritchie auquel Pemberton est la meilleure chose qui soit arrivée, aurait du être un feu d’artifice. C’est un pétard mouillé… ennuyeux, répétitif, sans inspiration.
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Après quelques B.O. peu enthousiasmantes, le compositeur me fait à nouveau vibrer ! Alors oui, les clichés, assumés, sont présents, mais le compositeur mêle assez finement l’ambiance de l’ère victorienne et la modernité de notre époque. Ce score ludique et truculent est aussi carrément addictif. Joyeuse, la musique laisse deviner une Enola gaie !
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Je crois que Pemberton est en train de devenir mon nouveau copain niveau musique de film. TOUT est réussi et ça s’écoute comme du velours. L’ami Daniel épouse les contours et le rythme du récit. Le compositeur caméléon par excellence. J’attends encore d’être déçu.
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