A la faveur du troisième opus de la séquence du béophile (consacrée à la Nuit du Chasseur), rédigée par un Pierrot habitée doublement par une envie de communier avec le tout un chacun qui trainera ses yeux sur le site d'Underscores, je me suis régalé par la profondeur décryptée de cette scène qui, étant plus jeune, m'avait également fascinée. Encore du bon boulot, mon Pierrot.

Tu as la cinéphilie plus fine que la mienne: c'est à l'occasion d'une récente projection que ce que j'ai essayé de raconter dans mon papier m'a sauté aux yeux. Mais il faut dire que plus jeune, c'est le film tout entier qui m'avait fasciné d'un bloc. Très heureux que tu nous suives, au passage. Très.

Oh ne crois pas ça, mon Pierrot ! Quand j'écris que le film (et en particulier cette séquence) m'avait marqué dans ma jeunesse, je n'avais pas 12 ans non plus, mais plutôt une bonne petite vingtaine d'années... Tout est relatif tu vois.
En tout cas, je suis heureux de vous lire, toi et l'autre affreux en pyjama (mais oui, je t'aime bien aussi mon bon Lee)

Sam Lowry a écrit :En tout cas, je suis heureux de vous lire, toi et l'autre affreux en pyjama (mais oui, je t'aime bien aussi mon bon Lee)

Sentiments ô combien nobles dont je puis, joie et félicité, certifier la réciprocité, camarade à deux trognes. Et même plus que jamais depuis que j'ai découvert, reclus dans un coin exigu de la page d'accueil d'UnderScores, un excellent papier frappé de ton emblème sur les deux vies de The Italian Job. Après Dadid, c'est donc au tour d'un autre pilier du forum d'effectuer le grand saut dans l'inconnu ! Bien sot celui qui s'aviserait de s'en plaindre.

Belle recrue et beau papier, assurément

Merci les amis ! ça fait chaud au cœur, si si !

Les concerts de musique de film sont à l'heure actuelle légion, et nul ne s'en plaindra dans les environs. Notre bon camarade Stéphane, qui folâtrait dernièrement dans la noble enceinte du Théâtre des Champs-Elysées, a aiguisé sa plume la plus sensible pour nous régaler d'un beau programme garanti 100 % qualité française.

Stéphane, ton article me fait regretter de n'avoir été présent ! Beau travail et merci pour, comme dirait le chanteur, donner l'envie d'avoir envie de réécouter le beau cd consacré à J.C. PETIT dans la collection Ecoutez le Cinéma !

Merci aussi de proposer la séquence du béophile. Cela m'a donné envie de réécouter Total Recall et l'Empire contre attaque.

Rik Spoutnik a écrit :Merci aussi de proposer la séquence du béophile. Cela m'a donné envie de réécouter Total Recall et l'Empire contre attaque.

A tout hasard, t'aurais pas eu également l'envie d'essayer Danton ? Hein ? Nan ? Damnation et décrépitude, un coup de katana dans l'eau...

Jusqu'alors d'une discrétion confinant à l'invisibilité ninja, notre mystérieux confrère Michael Ponchon rompt aujourd'hui son silence de longue date avec rien de moins qu'un doublé bien d'chez nous ! En guise de hors-d'oeuvre, une interview vieille de quinze ans mais toujours aussi passionnante du regretté Gérard Calvi, ici confessé par ses soins.



Dans la foulée, le gai gaillard ne mollit pas et soumet à une filature pointue les bons vieux Ripoux de Francis Lai. L'analyse est frappée au coin du bons sens, le style alerte. Que du bon !

Les articles poussent comme des champignons sur Underscores ! Ce qui rend bien entendu le site encore plus vivant, et personne ne s'en plaindra. Gérard Dastugue nous narre ses impressions quant au doublé FLIC OU VOYOU / LE GUIGNOLO de notre Bébel national. Beau papier, Gérard, assurément.

Sam Lowry a écrit :Les articles poussent comme des champignons sur Underscores !

A cette petite précision près, mon bon Double-Face, que l'article dont tu parles, loin d'être de la première fraicheur, affiche gaillardement ses quinze ans d'âge. En dépoussiérant le verbe toujours aussi savoureux de l'excellent Gégé, c'est en quelque sorte à une séquence émotion qu'UnderScores, le coeur toujours sur la main, convie ses gentils séides. Ce faisant, l'antédiluvien papier rappelle que TraxZone (car c'est bien de là qu'il est issu) était aussi un temple de l'érudition béophile, et non point seulement un forum de perdition où fusaient quolibets graveleux, répliques à l'emporte-pièce et aphorismes de bazar entre d'irrécupérables zigomars (toujours actifs, pour certains d'entre eux. Brrrr...)

Pour ma part, c'est d'ailleurs surtout cette facette de Traxzone que j'ai connu à l'époque. Je n'ai eu un vrai accès à internet que vers 2005 et ça a été pour moi une mine d'informations, de critiques et d'interviews, mais je ne suis jamais allé sur le forum à l'époque, en fait. Je vais donc aller lire cet article avec grand plaisir !

Lee Van Cleef a écrit :

Sam Lowry a écrit :Les articles poussent comme des champignons sur Underscores !

A cette petite précision près, mon bon Double-Face, que l'article dont tu parles, loin d'être de la première fraicheur, affiche gaillardement ses quinze ans d'âge.

Diantre !! Et bien la seule explication, en dehors de ma mémoire défaillante (ce qui est très possible sur ce coup), est que j'ai râté ce papier à l'époque de sa sortie ! N'empêche, cet article n'a pas pris une ride (heu... oui... ok... contrairement à moi ).

Je ne pouvais passer sous silence cet excellent papier de notre Shardar national sur le double-cd sorti chez Caldera Records consacré aux premiers travaux d'Abel Korzeniowski.

Ouais, merci N'Olive
En parlant des éditions souhaitées, j'aimerais beaucoup Escape From Tomorrow et surtout son Metropolis qui est à tomber.

Gégé Dastugue est de retour, arraché pour la seconde fois par UnderScores des limbes insondables de TraxZone ! Dans sa poche, le mélancolique papier qu'il avait autrefois rédigé de main de maître pour le bénéfice d'Une Affaire Privée. Je ne sais pas pour vous, gentlemen, mais pour ma part, j'attends déjà avec une impatience non dissimulée un troisième compte-rendu de ces fouilles tant béophiles qu'archéologiques...

Bravo pour le dossier 2015, vidéos très bien montées une fois encore. Cela dit, tu as une nette tendance à utiliser les images les plus violentes des films, ce qui est assez dommage (surtout pour un film tel que Braveheart qui ne se limite pas qu'à ça).

C'est déjà la fin des aventures de nos James Bond en culottes courtes... Notre cher vieux camarade Lee s'est fendu d'un article de bon aloi pour clore sa saga ! Quel bel ouvrage, messires !

Au diapason du spectre de Gérard Dastugue, invoqué au sein d'UnderScores par-delà les gouffres du temps, le mystérieux mais plus qu'estimable Michael Ponchon chante avec enthousiasme les louanges des belles heures du cinéma populaire européen. Bébel, de Broca et Delerue sont enchantés de tout ce caviar, dressé rien que pour eux en montagnes scintillantes !

Monsieur Dastugue, très éminente et plus qu'érudite plume de TraxZone, sort à nouveau du bois virtuel pour régaler ceux qui, à l'instar du vieux Van Cleef, n'avaient pu savourer sa prose au début des années 2000. A la question angoissée "Où sont les femmes ?", il répond avec toute l'élégance qui lui est coutumière.

Bien que vieux de presque dix ans (oui, on aime les enivrantes fragrances de la naphtaline, chez UnderScores), les feux croisés que jetait alors le camarade Ponchon sur Philippe Sarde et Jean-Pierre Ameris ont conservé tout leur vif éclat. Rien ne se perd, tout se récupère ! Ah bah, comme dans la classe politique, tiens...

Lee Van Cleef a écrit :

Rik Spoutnik a écrit :Merci aussi de proposer la séquence du béophile. Cela m'a donné envie de réécouter Total Recall et l'Empire contre attaque.

A tout hasard, t'aurais pas eu également l'envie d'essayer Danton ? Hein ? Nan ? Damnation et décrépitude, un coup de katana dans l'eau...

Un grand merci pour la suggestion.

Fait gaffe quand même, c'est du brutal !