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Si les figures orchestrales et chorales s’inscrivent en filiation avec les tout proches Batman et Darkman, Elfman emprunte des directions parfois plus exotiques voire tribales mais ailleurs aussi et surtout plus insidieuses, et par certains aspects plus envoûtants, portant même en germe la future March Of The Dead.
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J’ai bien rentabilisé mon CD acheté en 1990, les 46 minutes d’origine étant devenues des centaines d’heures d’écoute. Si certaines plages entretiennent une certaine filiation avec le Batman sorti l’année précédente, l’ensemble est plus sauvage et mystérieux. J’adore ce film et son score. Pour Elfman, cette période est vraiment bénie des dieux.
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Batman dévoré par des chauves-souris cannibales : catalogue d’elfmanismes horrifiques, rythmes et couleurs déjantées, quel meilleur équivalent musical aux Eerie Comics ? Clive Barker oblige, une angoisse plus viscérale traverse pourtant ce Cabal, livré en double dose par Intrada. Flippant, mais long.
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L’album d’origine était déjà très bon. Mais, une fois n’est pas coutume, l’expanded le rend encore meilleur ! Elfman montre une inspiration de tous les instants et nous offre un voyage au pays souterrain des freaks dans lequel l’humain est la plus terrible des bêtes féroces. Une partition vénéneuse, généreuse et carrément jouissive.
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Envoûtant. Barker et Elfman étaient fait pour se rencontrer. Une évidence. Le résultat est un incroyable opéra barbare, une ode au bizarre et à la monstruosité, où une musique de foire contaminée emporte tout sur son passage. Un must have pour ceux qui avaient loupé la première galette. Ou pour les d’jeuns.
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