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Elfman a beau puiser dans ses formules habituelles (et son superbe thème d’Alice), on ne peut que rester souvent admiratif, et parfois même ému, devant un tel bon goût, une technique aussi irréprochable, et s’enthousiasmer sur quelques morceaux de bravoure assez réjouissants. Et pourtant, rien de bien neuf dans tout ça. C’est aussi ça, le talent !
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Sentiment partagé entre une absence certaine de nouvelles idées par rapport à la précédente partition et l’évidence que les développements présentés ici, bien qu’au fond assez prévisibles, sont en même temps plus travaillés et fouillés. Et puis le seul fait de retrouver un thème aussi enthousiasmant est déjà en soi un réel plaisir.
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Superbement orchestré et reprenant avant tout les thèmes créés pour le premier épisode, mais n’allant pas vraiment plus loin. Ça reste du pur Elfman ultra plaisant pour tout fan du bonhomme. Attention, l’écoute sans la laideur du film fait carrément redécouvrir le score !
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Seule réussite du premier film, l’entêtant thème d’Elfman, qu’on retrouve avec un réel plaisir pour cette suite. Pour autant, il s’agit d’une sympathique surprise elfmanienne d’un compositeur assagi depuis des années qui s’amuse bien, ce qui se sent dans cet album virevoltant et puissant où le Alice’s Theme se taille, bien évidemment, la part du lion.
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Testée et approuvée par la méchante Sorcière de l’Ouest : « Elfman reprend son fabuleux thème pour ce second opus tout en lançant de très belles incantations symphoniques qui semblent pourtant moins abouties que sur le premier film. En tout cas, pour nos sabbats entre copines, c’est parfait. »
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Obsédé par son thème pour Alice, Elfman n’a d’yeux que pour lui : délicat, mystérieux, espiègle, martial, il passe à toutes les sauces. Les orchestrations sont variées, précises, assénées avec assurance. Le compositeur ne délaisse pas pour autant l’émotion avec le personnage du Chapelier fou. La suite d’ouverture est bel et bien le clou de l’album.
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