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Mélodies délicieusement travaillées, développements frais, changeants et élégants, orchestrations raffinées avec mention spéciale aux touches baroques… : avec ses accents primesautiers de comédie et de romantisme, ce très bel et délicat ouvrage orchestral est une fois encore un plaisir de tous les instants pour l’oreille. Chaudement recommandé.
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Pour cette comédie en costumes, Velázquez enchante grâce à une partition symphonique enjouée, malicieuse, chaleureuse et énergique. L’album se déroule très agréablement avec une fraîcheur quasi-constante. La forte présence du pupitre des bois m’a beaucoup plu. Bravo Fernando !
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A part une poignée d’aigris, existe-t-il encore des gens pour douter du talent du compositeur ? Il nous réjouit à nouveau, avec une belle musique symphonique. Fraîcheur, légèreté, comédie, aventure ludique et bien sûr tendresse forment un programme très euphorisant. Velázquez est un hombre au-dessus de l’actuelle médiocrité musicale.
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Sans être un score pour île déserte, cette « tendresse » en forme de conte insulaire recèle assez de beauté mélodique, de charmes subtils et de mystères pour vous retenir dans ses voiles. Seul petit point faible : les 71 minutes se révèlent fatalement répétitives, mais les amoureux ne compteront pas, et la Vals de la Ternura conclut si bien le voyage…
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Pour cette famille aristocratique évoluant sur une ile déserte après le naufrage de leur navire, Velázquez épouse le ton de la comédie, en mode orchestral avec un solo de voix sur fond de glockenspiel qui met une bonne droite à toutes les vocalises plaintives actuelles. La patte grandiloquente est toujours là, mais plus enjouée.
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Voici un compositeur découvert grâce à ma participation à l’UnderScorama. Comme quoi faut être curieux en matière de B.O. ! Car on n’est jamais déçu avec Velázquez. C’est beau, bien foutu, orchestral à souhait. Voici une musique pour l’adaptation d’un conte qui fait mouche à chaque fois. Je vais aller jusqu’à quatre cette fois-ci !
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