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Rien d’étrange ni de nouveau, entre Russo qui dérive ouvertement son nouveau thème de celui de Courage et Melumad qui meuble chaque épisode de plages d’attente et de suspense joliment conçues (on pense parfois à Giacchino, ce qui n’étonnera personne) mais jamais franchement passionnantes au-delà de quelques saillies cuivrées bien senties.
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Russo est crédité pour le générique mais Alexander Courage y est pour beaucoup, d’ailleurs Melumad n’hésite pas à utiliser le thème classique ainsi que d’autres passages de la B.O. de la série originale. La musique est pétillante, optimiste, colorée, mélodique et très acoustique. Un vrai plaisir.
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Ni nouveau ni étrange, très différent du Picard de ce mois (le style des séries y fait aussi), ce Trek vous plonge dans une nébuleuse propice à la rêverie, au point de flirter trop souvent avec le vide – confortable, mais un vide tout de même. Au pire, si cette évanescence vous terrasse, vous ferez un agréable dodo au 23ème siècle.
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Carnet de bord du capitaine. Espace-temps inconnu. Nami Melumad, dont le nom fait toujours penser à une excellente rubrique de Mad Movies, pourrait bien devenir une valeur sûre de la franchise. La dame propose un score plus tourné vers la découverte et l’exploration, qui semble vouloir se glisser dans les pas de la série originelle. J’adhère !
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Protégée de Giacchino, Melumad n’arrive pas à s’inspirer de ce qui fait le succès de son mentor. Ses mélodies, harmonies et ostinati sont convenus. Bref, ce qui fait la force d’un Giacchino est absent chez elle. Le thème principal de Russo est, comme à l’accoutumée, un pastiche de ce qu’on connait déjà depuis des lustres.
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J’aime beaucoup ! Le thème de Jeff Russo, et les dégradés sur les thèmes trekiens déjà connus. C’est inspiré, bien fait, totalement dans le ton. On sent un réel et profond amour pour la saga. Une belle réussite. Star Trek a du bol musicalement en ce moment.
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