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Lamboley parvient, avec piano, orchestre (les bois !), chœurs, électronique et une sensibilité assumée, à évoquer à la fois l’innocence de l’enfance et l’horreur de la guerre. Le souci constant de musicalité alliée à la trame dramatique donne un album à la narration fluide et forte. On en redemande.
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Lamboley est une valeur sûre de la B.O. française, ne me décevant que rarement. Ici, il donne deux orientations à son travail : une ambiance légère et charmante, presque magique, pour l’enfance, et une autre plus sombre, pour le monde adulte et la guerre. Une démarche classique qui fonctionne. Et je recommande la lecture de la BD.
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Qui l’eut cru pour cette guerre des lulus ? Un orchestre, des chœurs, et un Lamboley toujours en subtil équilibre entre l’émotion, la joie de vivre enfantine et des pièces plus ouvertement dramatiques pour un film français ? Que se passe-t-il ? Y aurait-il des producteurs qui feraient à nouveau confiance à de vrais compositeurs ?
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Le nouveau Lamboley après l’excellent Jack Mimoun. Adaptation d’une BD avec une bande de gosses pendant la guerre. Ça oscille entre comédie et drame, avec des chants et chœurs d’enfants bien sûr. Le compositeur affine son style, apporte de la nuance, et signe une nouvelle réussite. Du beau boulot.
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