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Compositeur perspicace, Elfman saisissait les enjeux adolescents du super héros entre tourments et exaltation, et sa toile ultra divisée combinant orchestre, guitares et électronique en impose, même si le traitement du Green Goblin est plus trivial. Comme souvent l’album d’époque était parfait, mais les inconditionnels n’hésiteront pas.
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Avis encore moins objectif que d’habitude : j’adore cette musique, et l’écouter enfin de cette façon révèle de façon évidente le souci du détail d’Elfman : chaque variation sur les thèmes semble ajouter une facette, une évolution. Un régal. Vivement le même traitement pour les deux scores suivants !
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Ce coffret anniversaire rappelle, s’il en est besoin, que M. Elfman est un grand compositeur, qui vous piégera rapidement dans sa toile et vous fera vivre un grand moment musical. Pour notre bonheur, La-La Land a rassemblé l’album de 2002 (45 minutes), l’édition étendue (79 minutes) et une grosse louche de bonus (46 minutes) !
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Alors ce score là, en version complète, je l’attendais depuis longtemps. Qu’on ne vienne pas me dire qu’il n’y a pas de thèmes et qu’ils ne sont pas développés ! Certes, l’écriture morcelée du Elfman de cette période demande à l’auditeur de suivre la cadence (changeante). Mais bon sang que c’est bon !
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Film qui lança à n’en point douter la déferlante super-héros au cinéma, score formidable de Danny Elfman pour Sam Raimi, OK. Les complétistes apprécieront sans souci la tonne d’inédits, d’alternate et d’extended. Pour moi c’est bien trop long. Je noterai donc juste le score.
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