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Doit-on blâmer Elfman pour cette musique joliment insipide ? Son parcours exemplaire joue pourtant en sa faveur, alors que Tim Burton, lui, s’enfonce un peu plus à chaque film dans la médiocrité. Je vous laisse tirer les conclusions qui s’imposent… |
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Compte tenu du sujet, on pouvait sans doute prédire que la contribution d’Elfman serait plutôt discrète, voire effacée… mais à ce point ? Transparent et sans grand attrait. |
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Aurait-on imaginé un jour pour un film de Burton une musique aussi insipide, télévisuelle et fonctionnelle? Une imitation de Thomas Newman, étirant l’esthétique du générique de Desperate Housewives. A réserver aux fans de Lana del Rey. |
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Pas grand chose à se mettre sous la dent, vu qu’il s’agit avant tout d’une compile de chansons, avec quelques morceaux d’Elfman a la fin. Le peu qu’on entend reste honnête, mais pas de quoi écarquiller les yeux. |
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Si la première moitié de l’album ne vous a pas saoulé avec les standards éculés, ce n’est pas très grave, parce que la musique d’Elfman est tellement convenue que la seule échappatoire, c’est le bouton STOP. |
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Pour cette nouvelle collaboration avec Burton, Elfman adopte un registre discret, recourant à des moyens réduits pour créer un univers sonore intime et cristallin. On est plus proche ici de Promised Land et Restless, voire de l’univers de Thomas Newman. |