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On raconte que là-haut, sur la colline, dans un manoir abandonné, se trouve une partition aux pouvoirs magiques capable de transporter ceux qui l’entendent dans un univers féérique, scintillant de poésie, brillant de mille feux qui font naitre une émotion à nulle autre pareille. Cette musique existe, je le sais : c’est un homme-elfe qui me l’a dit. |
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L’émotion du conte de Burton doit beaucoup à l’innocence féerique de sa partition, tenue à raison comme l’une des plus belles et séduisantes de son auteur. Cela étant, si vous détenez déjà l’album d’origine qui était lui-même une réelle merveille, rien ne justifie non plus vraiment de se précipiter sur cette nouvelle édition. |
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Un véritable bijou mélodique rehaussé de plusieurs pistes pour les 25 ans du film. La partition d’Elfman est toujours aussi merveilleuse et magique. Manque malheureusement le fantastique solo de violon joué durant les récents concert d’Elfman. |
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Je ne sais pas vous, mais l’édition MCA me va très bien. Intrada s’adresse avant tout aux amateurs qui découvriront ce chef d’œuvre. |
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Simplement l’un des plus beaux scores de Danny Elfman, si ce n’est LE meilleur. On trouve dans ces 72 minutes tout ce qui rend sa musique si magique et originale : une émotion à fleur de peau, si puissante et enivrante qu’il n’arrivera plus guère à l’atteindre ensuite. |
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Elfman a composé pour Burton un conte de Noël si triste, touchant, lyrique et fantasmagorique que chaque écoute vous rappellera votre innocence perdue… Mélodies, arrangements, tout semble aussi évident que totalement unique. Cette version étendue ne diminue en rien la force de ce chef-d’œuvre. |