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Cordes, bois, chœur, un électro parfois très intrusif qui n’est pas sans évoquer en filigrane Mars Attacks!, pour une partition aux humeurs fort changeantes qui lorgne plutôt vers l’indé contemporain à la Van Sant : c’est donc pour ce genre de projet qu’Elfman se révèle désormais le plus créatif mais aussi le plus déconcertant. Attrayant.
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Le film a l’air un peu barré et la musique de Danny en renforce l’aspect, en alternant les genres, comme l’americana et l’électro des 80’s. Cette composition, réalisée pour synthé et quelques instruments solo, réservent donc de belles surprises, mais aussi quelques passages moins passionnants. Cela dit, cet album s’écoute avec un plaisir non feint.
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Diablement intriguant, à mi-chemin entre ses travaux pour le ciné d’auteur et ceux pour les salles de concert. Il intègre de nombreux éléments électroniques inattendus à son arsenal acoustique varié. Tout à la fois entièrement elfmanien, l’album ne ressemble exactement à aucun autre. Enthousiasmant !
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Je pensais être devenu sourd à la musique d’Elfman à l’écran, devenue impersonnelle bien qu’ancrée dans son propre style. Ce White Noise le fait sortir un peu de son silence par un mélange assez inhabituel d’orchestral (étonnantes références à Morton Gould) mâtiné de chœurs et de synthétique.
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Paranoïa dans une petite ville américaine. Adepte naturel des percussions, Elfman y va de ses rythmes obsédants, égayant cette noirceur de quelques fantaisies à sa manière. Hétéroclite, le catalogue va de l’électro pénible au très oubliable au très sympa. Privé de son support visuel, l’ensemble est mieux que ce qu’annonce le titre, mais guère plus.
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Le film donne vraiment très envie ! La BO ? Du pur Elfman où le compositeur revisite avec classe et beaucoup de talent toutes les facettes de son style. C’est simple, tout y passe. Vraiment un excellent cru que j’ai apprécié comme un bon vin plein de souvenirs.
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