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La densité à la fois dramatique et romantique pour piano et orchestre que Daniel Hart assume pleinement la plupart du temps se révèle d’autant plus séduisante qu’il sait y injecter parfois une grande délicatesse, au travers notamment d’une très jolie valse lente, avant que le tout ne se charge d’accents plus lancinants et toxiques. Une belle réussite.
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Avec Hart, on ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre. L’homme, qui aime les cordes, navigue entre un réjouissant Pete’s Dragon et un morne Light Of My Life. Avec la volonté d’apporter à sa musique une âme que les vampires n’ont pas, il tente de sortir sa musique du tout-venant télévisuel, sans hélas totalement y parvenir.
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Excellente surprise ! Daniel Hart offre un écrin musical de tout premier ordre à cette nouvelle adaptation. L’écriture orchestrale soignée et chic ne semble jamais céder au papier-peint musical interminable. Chaque piste semble vouloir dire quelque chose et l’impact émotionnel est d’autant plus fort.
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Je craignais une purge, c’est un coup de Hart ! Certes moins hardi que Goldenthal, le compositeur fétiche de David Lowery exalte la tradition romantique du vampire, jouant des cordes et du piano comme Nicolosi ou Gizzi avant lui. Sans faire oublier les classiques, son élégance épate et les quelques samples trop audibles n’y changent rien.
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Ce compositeur m’avait touché au cœur avec A Ghost Story à un moment charnière de ma vie. Pour cette nouvelle adaptation du roman en série (était-ce bien nécessaire ?) Hart nous offre une B.O. romantique en diable, qui semble très bien coller avec le sujet. Fait appréciable, la sélection ne dure pas des plombes et s’écoute donc avec plaisir.
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