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Oscillant entre chambrisme malicieux, ampleur plus symphonique et air d’opéra, piano et clarinettes en position privilégiée, Lamboley souligne les états d’âme tragicomiques des deux illustres personnages avec beaucoup de finesse, un soupçon de tendresse et une élégance en tout point délectable. Le travail de déclinaison du thème est remarquable.
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Toujours Mathieu Lamboley, mais cette fois-ci, il s’éloigne des jungles du Val Verde. Autre temps, autre musique. Ici, le compositeur revient dans une veine plus légère, ironique, mélancolique et surtout plus française. Un score orchestral frais et malicieux qui se déguste avec ravissement.
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S’il vous faut choisir entre les deux Mathieu Lamboley du mois, prenez celui-ci sans hésiter. Les jeux des couleurs (des bois !!!) et des mélodies sont bien plus mémorables, semblant embrasser la narration de manière plus directe et confiante. Un vrai bonheur à l’écoute.
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Voilà une partition orchestrale (en formation chambriste) qui flirte constamment avec malice entre modernité rythmique, alerte et agressive, et pastiche d’airs surannés, le tout baigné dans une demi-lumière qui s’offre même des couinements et des ritournelles ironiques. Pour moi, la nouveauté du mois.
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Avec l’acuité d’un Sarde, Lamboley livre un travail simplement évident. L’écriture alerte (accordéon, cordes, clarinette, piano…) convoque le tourbillon de l’époque (la comédie plus que le drame) sans négliger les moments en retrait, ose un air pour soprane bref mais émouvant, avant de finir sur une note d’espoir amère.
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Lamboley again ! Classique dans la forme, ludique sur le fond. Avec, encore une fois, un vrai sens de la (belle) mélodie. Les BO de ce compositeur sont généralement courtes, mais toujours efficaces. Il se forge peu à peu un style reconnaissable. A suivre !
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