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En bon gentleman compositeur, Lamboley a fignolé son approche mélodique, peaufiné ses orchestrations avec de délicieuses touches de guitare électrique, de cymbalum et d’une clarinette basse joliment malicieuse, et enrobé ses ostinati de cordes de rythmiques hip hop jamais racoleuses, le tout sonnant formidablement. Il n’est pas loin du jackpot.
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En pleine forme, le compositeur navigue entre séduction et action, accorde la tradition et la modernité et insuffle une belle énergie pour proposer une musique très divertissante. Chouette !
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Un album de 34 minutes pour dix épisodes ? Soit la musique est réutilisée à outrance, soit on se fout de nous ! Bref… Si la musique est principalement orchestrale, Lamboley intègre des rythmes plus modernes (hip-hop et synthé), créant un pont entre passé et présent. Thématique, le score propose des ambiances variées, au goût parfois 70’s.
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Pour cette belle réussite de la télévision française (rare dans le domaine du heist movie), remarquable en bien des points, la musique de Lamboley est au diapason. Louchant adroitement vers un David Arnold et les codes du genre, le compositeur épate par sa compréhension immédiate des besoins de l’image. Lamboley n’a pas loupé son Lupin.
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Formidable succès, la série Lupin en doit bien une partie à la partition de Mathieu Lamboley qui a su toucher juste, dès son générique d’une grande coolitude, n’hésitant pas à mêler à l’orchestre des rythmiques hip-hop. Ce qui pourrait sur le papier paraître un mélange incongru se révèle tout à fait approprié à la dualité du personnage d’Omar Sy.
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Ludique, sympa, pleine de fantaisie et d’idées musicales, la musique de Lamboley sait aussi se faire douce et lyrique. Une belle réussite pour cette série Netflix, de la part d’un gentleman compositeur !
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