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Une gentillette musique de comédie qui mérite mieux que les pitreries de Franck Dubosc. Le compositeur a pris le soin d’apporter une thématique, de fignoler ses orchestrations, et le résultat, s’il ne sort à aucun moment des sentiers battus, reste sympathique, mais mériterait une présentation plus travaillée que ces minuscules vignettes musicales.
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Malgré un soin évident à vouloir proposer quelque chose de divertissant (et fort bien conçu au demeurant), la partition reste au sol, un peu désespérément avouons-le : tout y est bien sagement à sa place, mais trop sagement. C’est peu de dire qu’il manque une vraie espièglerie là-dedans pour rendre le tout bien plus mémorable.
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Un score jouli meugnon et plutôt sympathique de Mathieu Lamboley qui, s’il ne vole pas très haut, a le mérite de ne pas se prendre pour ce qu’il n’est pas. La légèreté est de mise donc, et on passe un bien meilleur moment avec ce score que le film qu’il habille.
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Après le sympathique Lolo, Lamboley s’attaque à nouveau à la comédie orchestrale. Agréablement acoustique et charpentée solidement par des thèmes et motifs évidents, la partition rappelle de nombreuses musiques de comédies US des années 1990. L’album aurait gagné à être séquencé de manière plus compacte (47 pistes pour 42 minutes !).
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Il y a un petit côté Rombi en mode comédie dans cette musique de Lamboley. Ce n’est pas désagréable du tout, frais, orchestral et thématique. Le petit hic, c’est qu’il y a pas mal de morceaux assez courts. Pas rédhibitoire bien sûr, mais pour le développement c’est un peu contre-productif.
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