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Une partition à l’ancienne qui coche toutes les bonnes cases : de très nombreux thèmes développés avec application tout au long du score, des orchestrations ciselées et chatoyantes, un orchestre qui virevolte avec entrain et juste ce qu’il faut de classicisme. Lamboley s’est surpassé, et il l’a fait avec une joie de composer qui fait plaisir à entendre.
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Entre impressionnisme délectable et mickey-mousing virevoltant et savamment dosé, le tout porté par des orchestrations on ne peut plus recherchées, la musique de Mathieu Lamboley peut au premier abord paraître d’un grand classicisme mais elle atteint un tel niveau de raffinement qu’on ne peut que l’applaudir chaudement.
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Projet de rêve pour un compositeur que celui de ce film sans dialogue, de plus consacré à des héros si peu expressifs que l’expression de leurs émotions repose grandement sur la musique. Lamboley coche toutes les cases du score symphonique d’aventure, manque juste un je ne sais quoi de marquant dans les thèmes pour déclencher l’enthousiasme.
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Une musique éclatante de vitalité et de sensibilité. Exposant sans honte une musicalité de tous les instants, portée par un thème central superbe et des thèmes secondaires au charme fou (mention spéciale à ceux de l’arachnide et de la petite coccinelle), le score fait l’improbable grand écart entre exigence et fluidité, pour culminer dans un final merveilleux.
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Tour à tour sautillante, martiale, contemplative ou délicate, la partition de ces Mandibules du Bout du Monde est une bien jolie découverte. Cela donne très envie de voir le film. Un petit frenchie à suivre assurément…
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