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Toujours aussi à l’aise dans une approche classique mais pleine de fraicheur qu’on ne trouve guère, par ailleurs en France, que chez Rombi, Lamboley enfile comme des perles de petites vignettes musicales délicates et délicieuses. Il est plus que temps qu’on lui confie les rênes d’un projet un peu plus ambitieux que cette bluette gériatrique.
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Gentillette (et très courte) musique, volontiers nostalgique, typique d’un certain cinéma français qui aime parfois à se contenter de choses simples. Le problème est qu’on a entendu ça mille fois et en mieux (cf. Rombi). Lamboley est talentueux et il serait urgent de lui accorder un bien meilleur crédit et surtout un projet propre à stimuler sa créativité.
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Une musique de romance intimiste et délicate, conventionnelle mais très plaisante, joliment troussée. La brièveté de l’ensemble participe aussi de la légèreté rafraîchissante de l’ensemble. Nostalgiques de Legrand/ Demy : les comédiens poussent la chansonnette à la fin… mais aussi en mode Philippe Katerine/Techno Dub !
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En ne se limitant pas aux arrangements bateau, Lamboley nous emporte dans une histoire légère et douce comme une pomme d’amour. Enfin l’idée qu’on s’en fait. Parce que le caramel ce n’est pas super léger non plus. Tout ça pour dire que ce disque mérite vraiment votre attention. J’en ai encore une petite larme au bout des paupières.
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Nouvelle comédie à l’actif de Lamboley, nouvelle partition d’un classicisme soigné, peu répandu aujourd’hui, au propos musical clair et direct. Le tout se suit avec une facilité désarmante, jusqu’à la mignonne chanson Fuyons. L’électro-farce de Thermostar concluant l’album par contre, bof. Attention, il y a à peine 19 minutes au total.
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Que voilà une partition charmante, presque bucolique, et en tout cas fort pittoresque ! Quelque part entre Rombi (cordes et bois) et Cosma (pour la volonté thématique), la musique est mélodieuse à souhait. Mais quinze minutes de score, c’est vraiment trop peu… à moins que vous soyez bonne poire.
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