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Le compositeur ne ménage pas ses efforts pour donner à sa partition des reflets évoquant les scores de comédies policières des années 80, à grand renfort de guitare et basse électrique. Malheureusement, le soutien orchestral (entièrement samplé) n’est pas à la hauteur, et l’hommage tant recherché en ressort plus factice que sincère.
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Ouch ! Musique fauchée à base de samples bien peu glorieux, voilà qui fait mal ! Et Ryan Shore a beau nous refaire dès qu’il le peut le coup de la « coolitude » schifrinesque – celle-là même qu’on nous ressort un peu trop facilement ces derniers temps, le résultat s’avère des plus brouillons. A oublier au plus vite.
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Un exercice de style, qui ressemble plus à une succession de jingles qu’à un score narratif et structuré, mais la saveur de certaines de ces petites virgules, entre Schifrin et Kamen période Lethal Weapon, est assez irrésistible. Il y a aussi pas mal d’action générique, hélas.
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Plutôt agréablement surpris par cette galette, vu que je n’attendais pas. Au lieu d’un truc tout bancal tout niaiseux, Ryan Shore décide de s’amuser et d’écrire très sérieusement ses thèmes comme pour une série policière époque façon CHiPs ou Starsky & Hutch. Vraiment fun. Mais beaucoup trop long…. Mais fun… Vous connaissez la suite.
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Pauvre Ryan. Il fait des efforts le bougre, la partie jazz-rock façon buddy movie est très sympa, il y a des motifs, des sons rigolos pour pimenter « l’orchestre » (des samples pas terribles). Demeure l’amère impression de talent gâché (réécoutez ses albums chez MovieScore). Sinon, quelqu’un pour éditer la béo de Silvestri pour le premier ?
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De la musique pour film d’espion en herbe, ça donne du groove avec de la basse électrique, des percussions, du xylophone, du triangle, et de la guitare bluesy (façon Midnight Run de Danny Elfman). C’est assez agréable, mais hélas aussi un peu facile parfois…
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