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Il y a des traces à ne pas suivre : celles d’un Blake Neely par exemple, à moins de souhaiter comme ici un remplissage télévisuel insipide tel qu’on en entend partout et de plus en plus, dans un genre électro-orchestral sans idées mais volontiers irritant par moment. Et ce ne sont pas quelques sursauts rock qui peuvent changer la donne.
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Après son fort sympathique score pour Spirit Untamed, la rousse Amie s’attaque à la verte Jennifer. Hélas, pas de quoi en voir de toutes les couleurs, car celles de la musique restent assez classiques. Ça s’écoute bien (hormis les textures électro), mais c’est aussi assez vite oublié. C’est certes dommage, mais pas de quoi voir rouge non plus !
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Je m’attendais à un truc franchement pas terrible et… finalement j’ai passé un très bon moment : la musique s’appuie sur des motifs et thèmes bien définis, les utilisent de manières variées pour donner rythme et personnalité à l’ensemble. Donc divertissant et solide.
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Je me demande si ça ne commence pas à sentir un peu la fin des haricots pour Marvel, surtout à la TV. Pour avaler cette soupe de légumes aussi digeste qu’une purée de pois et aussi insipide qu’un sachet de thé à la menthe dilué dans cinq litres d’eau tiède, il vous faudra bien du courage. Je préfère aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs…
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Ce job laissera peu de traces dans l’univers Marvel comme entre vos oreilles, mais pas de quoi verdir de rage : c’est de la zique un peu ambient un peu rock dans les canons du genre ; notez l’irruption progressive de la pulsation binaire pour incarner la colère, primaire et donc… très Hulk ! Parfois on n’en demande pas plus.
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Ça flirte de temps en temps avec des ambiances du style Desperate Housewifes, donc du déjà entendu, comédie oblige. Mais l’orchestre sait se faire (super) héroïque, sans jamais être parodique. Plutôt ironique. Et du coup c’est exactement ce qu’il faut pour cette légèreté Marvel portée par une comédienne épatante.
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