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Guitares électriques et influence résolument western, action percussive à tout-va en plus de développements schifrinesques, on jurerait à cet inventaire que Daniel Pemberton est passé sur le projet avant que Isham ne s’en empare. Pas sûr par contre que le registre convienne réellement à ce dernier, qui fait le job mais n’enthousiasme à aucun moment.
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Assez passe-partout mais pas désagréable, comme souvent avec Isham depuis bien longtemps. De la musique d’action générique – beaucoup de percussions, des accélérations de tempo – relevée de quelques effets soulignant le comique auto parodique du film. Pas de quoi se relever la nuit…
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Depuis le début de cette décennie, entre les films et les séries, il est difficile de dire que le Mark y chôme ! Ambiance cool et détendue, avec une belle diversité de tons et surtout un sacré dynamisme. De là à se dire que le compositeur a un talent en or massif… Je dois bien reconnaître que je suis particulièrement séduit par ce nouveau score d’Isham.
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Musique hénaurme et plutôt surprenante de la part de Mark Isham. Le ton exagéré est réussi et pas lourdingue (même si j’aurais aimé des thèmes plus marquants) mais ce sont deux-trois passages façon western spaghetti qui font tout le sel de cette partition moqueuse !
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Je n’avais pas entendu le talent d’Isham depuis un moment sur ce genre de projet. Entre musique référencée au groove des 70’s et scoring massif dans l’air du temps, Isham rend hommage aux rythmes endiablés d’un John Powell (guitare flamenco ou électrique et cordes énergiques) et semble s’être amusé.
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Nicolas, Cage, Nicolas Cage. Cage joue le rôle de Cage. Isham joue du Isham à la mode Cage, tout en action et clins d’œil éruptifs. Des pulsations un peu classe façon M:I, puis des qui tachent, aux effluves de sueur et bière chaude. Heist movie, synthés, western spaghettis, guitares électriques et flamenco… Sympa tendance soûlant, comme Cage.
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À force de jouer toujours le même personnage, Nick Cage finit par jouer son propre rôle. Isham l’accompagne dans ses aventures avec un score d’action qui rappelle l’époque de Time Cop ou The Net. Le résultat est certes carré, mais ce n’est pas cette facette du compositeur qui m’intéresse le plus.
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