Operation Mincemeat (Thomas Newman)

UnderScorama • Publié le 15/05/2022 par

OPERATION MINCEMEAT (2022)
Compositeur : Thomas Newman
Éditeur : Lakeshore Records
Format : CD & Digital
Date de sortie : 15/04/2022

2.5 out of 5 stars
Florent Groult Le style déroulé par Newman depuis des années a parfois ceci d’exaspérant qu’il donne la nette impression de fainéanter en boucle dans un coin de l’espace sonore du film : c’est le cas ici à deux ou trois séquences près. Certes, la partition se fait adéquatement secrète, mais sa valeur réelle à l’écran est la plupart du temps assez discutable.
2.5 out of 5 stars
Pierre Braillon Newman déroule sans aucune inspiration ses kilomètres de suspense rythmique. Une forme de papier peint musical, devant lequel on s’endort très vite.
2.5 out of 5 stars
Franck Le Roux N’étant pas fan de ce Newman, j’ai toujours un peu d’appréhension à découvrir un de ses scores. Convenu, l’ensemble se révèle plutôt pas mal, car je m’attendais à un truc d’ambiance insipide. Même si je me serais passé des rythmiques et sons trop modernes. Mes plages préférées ? Les deux morceaux de jazz !
3 out of 5 stars
Milio Latimier Malheureusement, une bonne partie de la musique adopte un style « thriller moderne », assez terne et en retrait. Certaines pistes nous sortent heureusement de la torpeur (jolie et soignée, hein, Newman n’est pas manche) mais vu le sujet, on aurait apprécié quelque chose de plus affirmé.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez D’ordinaire, Thomas Newman a déjà un style assez feutré voir diaphane. Mais là, en mode suspense militaire, sa musique engage à la somnolence. Il faut déployer des armées de pensées positives et une cargaison de caféine pour ne pas y céder.
2 out of 5 stars
David Lezeau MI5, translucide, triangle amoureux. Pour colorer ce film trop rusé qui appuie sur la romance afin d’adoucir son récit d’espionnage, nul besoin d’un homme nouveau. Thomas sait faire : nappes mystère, rythmes électro, cordes tendres ou stressées. La note vaut pour l’apport au film, car ce demi-vide musical risque de vous faire débarquer avant la fin.
2.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Après un 1917 quasi inécoutable hors contexte mais parfait sur les images, Newman illustre cette fois-ci la seconde guerre mondiale. Si quelques plages atmosphériques sont bien présentes, les amateurs  vont être aux anges : on retrouve le Newman intimiste style Six Feet Under, et celui flamboyant et orchestral des Évadés. Du très bon boulot !
4 out of 5 stars