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Des émotions délicates avec une pointe de mélancolie, une valse toute mignonne, petite touche d’électro et une ampleur mesurée qui par instants rappelle le premier Narnia : l’ensemble n’a pas la vivacité de ce qu’un Steven Price peut proposer en la matière, mais l’approche est plutôt avenante et on se laisse entraîner par ses jolies lignes mélodiques.
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HGW, toujours aussi professionnel, coche toutes les cases du cahier des charges de la musique de documentaire animalier à la Disney, la mission principale de la musique étant ici d’accentuer les émotions que les animaux ne peuvent exprimer, et relayer au maximum l’anthropomorphisme du regard porté sur eux. Et ça marche très bien.
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Un petit score tout rond et tout chaud, comme un petit nounours. Gregson-Williams fournit ce que l’on attend de lui pour ce type de programme. Ce n’est donc pas original, mais très efficace dans le film et en simple écoute. Point de révélation, donc. Juste un agréable et chaleureux moment… sur la banquise.
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Nouvelle excellente partition de HGW pour un documentaire animalier. L’écriture claire est servie par un mixage précis et des musiciens investis. Beauté et fragilité semblent avoir été les maîtres-mots à l’écriture et le résultat donne un album riche en émotion, parfois poignante jusqu’aux frissons.
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Le premier morceau, tout en ostinati et en pulsations synthétiques dignes des plus blafardes RCPeries, avait de quoi glacer l’auditeur. Puis, l’effort mélodique apparait, lentement, s’exprimant jusqu’à un final plein d’émotion. Ces ours à qui nous faisons indirectement beaucoup de mal méritaient bien ce bel effort.
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Froid, chaud, tout doux. Aucune chance de se perdre dans le système polaire d’HGW, dès l’intro on se mange la norme en pleine face. Ouf, le spectateur est rassuré, et en effet on ne sera jamais surpris. Pourtant, est-ce la mignonitude, la solitude des glaces, les touches d’humour ou simplement le talent, cette musique a su trouver mon cœur.
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Joli documentaire original sur le combat d’une maman ourse pour élever sa progéniture. HGW illustre les images avec de beaux thèmes et finalement pas mal de distance. Le compositeur a de la bouteille et sait y faire. Le résultat est agréable, tant sur les images que sans.
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