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Une musique de thriller efficace, dont certains morceaux se détachent même du lot avec le petit supplément d’âme qui peut manquer parfois à ce genre d’approche à la fois convenue et dans l’air du temps.
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Une musique sombre, torturée et anxiogène, pour ce film très éloigné du scénario de Y a-t-il un Pilote dans l’Avion ? Avec ce score, Rombi crée une ambiance étrange, jouant avec les sons et faisant écho aux sons et bruits issus de la boîte noire. Plus classique, l’action est aussi au rendez-vous. Loin du sound design, le compositeur évite le crash.
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Score de suspense rythmé et obsessionnel (façon Herrmann ou Signs de JNH) à la production léchée et aux sonorités intrigantes (harmonica de verre)… qui se révèle aussi assez répétitif. Dans le dernier tiers l’attention est recaptée par un regain d’action et un orchestre plus étoffé et hargneux.
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Je suis assez client de Rombi. Mais ici, la noirceur de la partition (alliée à des références allant de Zimmer pour les pulsations, à JNH pour les cordes en passant par des sonorités qui rappellent le Presumed Innocent de Williams) est déconcertante et rend l’écoute isolée difficile. C’est surement efficace dans le film…
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Sujet oblige, Philippe Rombi se fait beaucoup moins lyrique que d’habitude et va chercher le suspense dans les pulsations. C’est très bien fait, comme souvent chez lui, avec un petit côté James Newton Howard. Reste que c’est difficile à écouter hors contexte pour les non-initiés.
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Ouvrir le mois avec le nouveau score de Rombi, c’est de bon augure ! Si l’électronique domine, l’auditeur est happé par l’instrumentation fouillée et atypique, à l’image des sonorités cristallines qui traversent le score. Les cordes, tantôt vénéneuses tantôt lumineuses, apportent une touche organique bienvenue. Une belle réussite.
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