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Comme souvent chez son auteur, voici une partition qui coule comme un ruisseau léger au printemps et diffuse par petites touches subtiles et troubles les élans et enjeux dramatiques du film d’Ozon. Rombi est décidément très en forme en cette année 2014 !
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François Ozon peut une fois de plus remercier son compositeur, dont la délicatesse et la sensibilité permettent à son sujet de demeurer sur le fil du rasoir. Tout le monde n’a pas cette chance en pareille situation.
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Philippe Rombi, je t’aime. Il m’arrive parfois d’avoir besoin de m’exprimer sur cette page, cette fois, c’est pour toi. Non, n’aie pas peur, je ne viendrai pas fouiller tes poubelles. N’empêche, merci d’être là.
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Chronique ordinaire et sans pathos d’un drame familial aux tournures inattendues, l’approche de Rombi est à la fois simple (piano, cordes et un peu de guitare) et pertinente.
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Le tandem Ozon/Rombi fonctionne décidément à plein régime. C’est presque devenu une habitude d’avoir un très beau score mélodique au thème quasi-systématiquement envoûtant. 100% frenchie ! * fier *
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Le charme agit immédiatement grâce aux superbes soli mélodieux, là ceux du piano, ici ceux du violoncelle, secondés par l’orchestre. Et comme toujours avec Rombi, cette grâce légère qui (re)donne le sourire…
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