Nameless1138 a écrit :Merci beaucoup Sam pour ce nouvel article sur Da Vinci's Demons !

C'est mon plaisir, comme disent les canadiens . Merci à toi pour avoir pris le temps de lire mon article et pour tes compliments qui me vont droit au coeur, sois-en convaincu Nameless.

Nameless1138 a écrit :Vivement la suite, j'imagine que c'est prévu ?

Tu imagines correctement. C'est en effet prévu. Le papier est dans les mains imposantes de notre Hellboy. Le troisième volet des aventures du duo Leonardo/Bear McCreary sera publié dans le courant de la semaine prochaine, si Dieu... heu, pardon le garçon de l'Enfer le veut bien.

Lee Van Cleef a écrit :Qui se cache sous le masque bleu-verdâtre de Fantomas ? Nul autre que le très savant "Gégé" Dastugue,

Superbe papier de Gégé-la-combine pour les musiques étranges de Michel Magne, inspiré par le génie masqué du crime et la réalisation maitrisé d'André Hunebelle.

L'ami Citizen "Vincent" Cancre sort l'artillerie lourde pour nous faire découvrir la bastonnade musicale de Batman Vs Superman : Dawn of Justice. Beau papier qui... envoie du lourd !

Vous souvenez-vous, honorables gentlemen, de l'excellente tagline (le meilleur gag du film, haut la main) ornant fièrement l'affiche de Scary Movie 4 ? De mémoire, elle claironnait : "le 4ème et meilleur épisode de la trilogie". Si la modestie innée que nous lui jalousons tous ne l'en avait pas empêché, notre ami Sam aurait pu en dire autant à propos de son texte amoureusement fignolé sur la saison 3 de Da Vinci's Demons, grâce auquel il conclut en beauté sa randonnée moyenâgeuse en compagnie de Bear McCreary.

Merci camarade !

Je ne regarde jamais les séries parce que je suis quasiment sûr de manquer des épisodes et de ne pas aller au bout. C'est toujours plaisant de lire la passion des autres et, Sam, j'ai eu du plaisir à lire la tienne, comme celle de lee où il évoque un western et un compositeur que je connais un peu... Bellissimo!!! Bravo!

Merci Janus !

Je n'ai pas envie d'éreinter le compositeur John Paesano d'une de ces catilinaires effilées dont je suis pourtant consommateur patenté, et croyez bien que j'en suis le premier mortifié ! Peut-être parce qu'à défaut d'être très stimulant à écouter, il s'avère plutôt agréable (et parfois même pertinent) à lire...

Le passage où il évoque Jurassic Park est assez symptomatique du cinéma hollywoodien d'aujourd'hui, j'imagine...

Je vous remercie d'avoir publié l'entrevue avec Joe Paesano. Cela m'a donné envie d'acheté la bo de Maze Runner.

UnderScores n'a pas oublié Bud Spencer ! Chargé de rendre au souverain pontife de la torgnole l'hommage qui lui revient de droit, le vieux Van Cleef s'est aussitôt employé à mettre les petits plats (de fayots) dans les grands.

Bien vu, merci ! Voilà une chronique au parfum estival qui sent bon le cinéma en plein air et les piadines banane/chocolat !

Une bonne grosse baffe que ton article mon cher Lee (même si, je dois l'avouer avec un peu de honte, je ne connais ni les films ni les compositeurs, la musique de film transalpine se cantonnant quant à moi aux deux seuls noms de Morricone et De Masi).

Un merci tout énamouré à vous deux, gentlemen. Mais vous savez, je n'ai pas eu si grand mérite à écrire ce papier, vautré comme je l'étais au fond d'un hamac, les orteils nonchalamment croisés et le verre de Pschit Citron, que surmontait l'inévitable ombrelle, à portée de main. Une méthode digne des plus prestigieux poulains de l'Actors Studio pour mieux appréhender la substantifique moelle de ces films et de leurs partitions...

Gégé, fine lame d'UnderScores, n'est pas content ! Quiconque a pu assister au navrant spectacle d'Oliver Stone se roulant pesamment dans le glucose de World Trade Center ne pourra, c'est entendu, que compatir d'un air chagrin. Niveau conduit auditif, Craig Armstrong, sans produire d'étincelles pour autant, semble avoir réussi à quelque peu apaiser l'ire de notre éminent compagnon. Ouf ! Le bouillon a bien failli déborder, sur ce coup-là...

Si notre ami Sam n'avait pas été qu'affublé, en guise de super-pouvoir, d'une seconde tête dont la plus remarquable conséquence est de le forcer à utiliser chaque matin deux fois plus de mousse à raser, les musclés de la Justice League auraient peut-être consenti à l'accueillir parmi eux... Nullement rancunier malgré tout, il chante aujourd'hui les exploits colorés des surhommes par le truchement des synthés manipulés vaille que vaille par l'oublié Kevin Manthei.

Lee Van Cleef a écrit :d'une seconde tête dont la plus remarquable conséquence est de le forcer à utiliser chaque matin deux fois plus de mousse à raser

Sans compter les cotons-tiges qui, à l'aube de 2017, ne seront bientôt plus en plastique !! Et je ne te parle même pas du dentifrice !!

Orson Welles et les projets maudits par tous les dieux de l'Olympe, c'est une longue, très longue histoire... Aux premières loges de cette lignée condamnée, It's All true a longtemps titillé la curiosité de la planète cinéma avant que d'audacieux mécènes ne le sauvent du cachot où il se couvrait de moisissures. En soi, c'est un prétexte bien suffisant pour s'intéresser au film ; Jorge Arriagada, qui a finalement composé la musique, près de cinquante ans après les premiers tours de manivelle, en constitue un autre. Foi de Van Cleef !

Superbe article, mon cher Lee ! Que puis-je ajouter d'autre ? Rien. Tu as tout dit. Ah si... peut-être peut-on souhaiter au cinéma du maitre Welles de passer les décades comme une cigogne rejoint les pays chauds en un tour d'aile !

"C'est la crise !" se lamente-t-on souvent face à l'inflation galopante, au chômage qui se porte à merveille et à la sinistre perspective de voir Zimmer jeter un jour son OPA maléfique sur Star Wars. Eh bien figurez-vous que sur la cousine éloignée de notre bonne vieille Terre, les choses ne se déroulent pas franchement mieux ! Tel est l'alarmiste constat dressé par notre brave Totophe, mieux connu sous le sobriquet de Two-Headed Sam, qui n'en avait pas terminé, loin s'en faut, avec les redresseurs de torts aux collants bariolés de la Justice League.

Lee, tu es mon publicitaire préféré !
Merci à toi.
Les aventures musicales de la Justice League, pour tout dire d'un niveau assez inégal, n'en sont qu'à leurs prémices ! ("Damned" doivent s'écrier les rares lecteurs tous déconfis )

Les super-héros costumés et notre Chris national, même combat : la mort en personne ne saurait les empêcher de renaitre de leurs cendres pour vivre d'énièmes et (plus ou moins) trépidantes aventures ! Ce coup-ci, honneur est cérémonieusement rendu au Speedy Gonzales vermeil de la Justice League et à Frederik Wiedmann, qui tente vaille que vaille de soutenir la cadence.

L'aimable communauté d'UnderScores va finir par croire que seule une obsession pathologique pour les adonis en collants arc-en-ciel peut expliquer les retours répétés du bon Chris dans le giron des films animés DC. Une théorie à première vue plus crédible que d'invoquer, une main sur le coeur et les larmes suintant de sous les paupières, la sacro-sainte cause musicale que le principal intéressé lui-même peine un peu plus encore à défendre dans les aventures de la Justice League de celluloïd. Courage, ami à la double frimousse ! Plus que quarante-douze autres longs métrages du même tonneau à traiter, puis, enfin, la douce béatitude du repos du guerrier harassé.

Une fois n'est pas coutume, les paladins tout de couleurs flashy vêtus de la Justice League délaissent les cieux qu'ils ont déjà sillonnés de mille arabesques pour plonger dans les abysses, où l'orgueilleuse Atlantide se dresse encore. Christophe, prêt à tous les sacrifices pour servir le blason ouvragé d'UnderScores, a enfilé illico son caleçon de bain à pois bleus et sorti de sa mallette en osier la bouée à l'effigie d'un canard, qu'il appelle affectueusement Fred, pour faire trempette à son tour. Et il ne semble pas être revenu mécontent de ses aquatiques pérégrinations.

J'avoue que j'ai moi aussi été plutôt satisfait par cet opus de Wiedmann. Cela reste un de mes préférés de son catalogue superhéroïque (assez uniforme), où il semble tirer le plus des quelques intruments acoustiques à sa disposition.