 |
Difficile de ne pas succomber au Haut Potentiel Festif de ce 007 qui allie densité de tons, narration d’une remarquable fluidité et, surtout, grande générosité thématique. On ne s’y ennuie pas une seconde, et la clarté sonore exemplaire de cette nouvelle édition est un atout à ne pas négliger.
 |
 |
La réédition de 2003 était déjà foudroyante, cette nouvelle présentation, entre séquençage et dépoussiérage sonore méticuleux, démontre encore une fois l’enivrante maestria de l’architecture et des arrangements de Barry pour cette partition plus bondienne que jamais. Incontournable.
 |
 |
Quatrième James Bond pour Barry et Sean Connery. Bien huilée, la mécanique permet au compositeur de livrer une B.O. jouissive, où les bases musicales de la saga côtoient la nouveauté dans une belle alchimie. Et l’éditeur remplit ses deux galettes, histoire de célébrer en grande pompe le 60ème anniversaire de ce score !
 |
 |
« They call him the winner who takes all. » Plus bondesque, tu meurs. Mélodique, très viril (merci Tom Jones) mais anglais, sans gras, en tension ET mélodique (ce motif ondulant, aquatique) : Barry s’énerve quand on le plonge dans l’eau. Son et bonus au top… OK, l’intégrale se répète fatalement, mais les écoutes aussi.
 |
 |
L’économie de moyens (et de notes sur la partition…) dont fait preuve Barry sur les Bond m’a toujours posé problème, principalement dans les (nombreuses, comme ici) scènes de suspens/tension. Si j’adore le thème principal et si je trouve la chanson très accrocheuse, le reste ne m’emballe pas beaucoup, et encore moins sur une intégrale.
 |
 |
Le Bond du mois. Je crois bien que je n’ai même pas vu le film… Le score a un charme fou, la faute à Tom Jones et sa voix d’or, et à John Barry bien sûr, comme un poisson dans l’eau. Après à part la qualité du son, c’est un chouia trop long pour moi.
 |