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Si les « JB addicts » ne peuvent que se réjouir de la parution d’une édition augmentée, on peut aussi sans honte ne pas considérer le titre comme un indispensable, les figures bondiennes se succédant, ici comme au sein du film, d’une façon répétitive et sans grand éclat. Il n’empêche qu’un 007 signé Barry, même routinier, reste une valeur confortable.
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John Barry, qui a donné ses lettres de noblesse et son âme à la musique de l’agent 007, fait donc son re-re-retour pour ce treizième film de la saga. Si ce n’est pas son meilleur travail sur la série, le compositeur livre pourtant un score de très belle facture, que cette édition permet de redécouvrir dans d’excellentes conditions. John Barry reviendra.
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Succédant à l’essai pop trop peu british de Conti, concurrent du redux avec Connery, Barry ramène Bond à la base avec un score identifiable, pépère (mais avec style), sensuel jusque dans les rares scènes d’action qu’il modernisera dans l’opus suivant. Malgré des répétions accentuées, ce 007 enivre de ses parfums capiteux.
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Comme d’habitude, le thème écrit par Barry pour un Bond devient presque un classique instantané, d’autant qu’ici la mélodie principale est loin d’être dans les canons d’évidence de l’époque. Ceci étant, même reproche que d’habitude. Les plages de suspense sont trop souvent soporifiques pour moi.
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Gros souvenir de cinoche avec mes parents ! Avec un Bond limite cartoonesque. J’adore la chanson et Barry se balade autour de son thème avec une classe incroyable. Le second CD est là pour les retardataires, mais j’ai beaucoup apprécié la rallonge de la première galette. Il manquait clairement de quoi s’enthousiasmer !
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