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On ne change pas radicalement une recette qui a si bien assuré le job précédemment et a défini de facto l’identité musicale de ces Bad Guys. Pemberton électrise donc ce nouveau volet avec la même sorte d’approche multivitaminée électro-jazzy-funky-rock qu’il maîtrise parfaitement, et avec un enthousiasme intact.
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Pourquoi changer une recette qui marche ? Pemberton, roi du rythme, reprend son travail groovy-funky coloré, énergique, électrisant et divertissant en diable. Ça file à toute allure et on ne voit pas le temps passer ! En tapant des pieds et en fredonnant, on pense forcément à ce cher Lalo…
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Pemby retrouve la bande de méchants garçons, dont il avait musicalement accompagné les aventures il y a déjà trois ans. Si son score s’inscrit donc dans une continuité, il n’omet pas de l’enrichir avec de nouvelles sonorités. L’ensemble est donc joliment fun et groovy. Si vous avez aimé son travail pour le premier film, vous ne serez ici pas déçus.
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Dans la série « animation » du mois, celui-ci a joué à good guy/bad guy avec moi. Ma note moyenne est une fuite : j’apprécie la polyvalence du monsieur et la qualité de fabrication mais ce style de musique me passe au-dessus de la tête. Alors merci de vous reporter aux notules des copains !
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Comme pour le premier opus, la suite offre à Daniel Pemberton l’opportunité de puiser dans un groove orchestral assez funky. Néanmoins, la surprise étant passée, le compositeur tourne un peu en rond sur la thématique et l’ensemble pâtit de plages à suspens un peu aride.
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Avec pas moins de cinq scores au compteur cet été, Pemberton c’est un peu le Pedro Pascal de la B.O. ! Et ça me va, j’apprécie beaucoup les deux. Pour cet opus 2, revoilà le compositeur cool et groovy, mais pas seulement ! Le final envoi du lourd et fait feu de tout bois, on pense souvent à ses Spiderman. J’aime beaucoup !
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