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Le film : une horreur visuelle (un cauchemar de daltonien) et thématique (un féminisme de SJW aussi subtil qu’un Fast & Furious). La musique : parfois à l’avenant, bruyante et hystérique. Il reste heureusement quelques pistes groovy et vraiment fun, mais il est plus que temps pour le talentueux Pemberton de commencer à mieux choisir ses films.
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La B.O. foldingue du mois par le musicien le plus éclectique et imprévisible du moment ! Batterie et basse électrique à gogo, un peu punk sur les bords, gentiment 60’s parfois, de petites idées vocales bien senties, un mix qui rappellera Spider-Man et The Man From U.N.C.L.E. On aime (beaucoup) ou pas du tout mais difficile de rester de marbre.
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A la folie tristement fabriquée du film, Pemberton répond par une B.O. authentiquement rock, révélant aussi bien sa connaissance – on navigue du rockabilly au hard 80’s – qu’un vrai plaisir à les (re)composer. Évidemment, le tout a un aspect catalogue, mais c’est tellement sincère et incarné qu’on se régale, à condition d’aimer le tatapoum, bien sûr.
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Vraiment un truc zarbi et bien barré, à l’image de Harley Quinn. On est tout de même pas très loin de son Spider-Man: Into The Spider-Verse. Mais non, je divague sûrement, puisque l’un est chez Marvel et l’autre chez DC. Les deux scores n’ont forcément aucun lien ! A moins d’un souci avec le multivers… Sympa, mais un peu usant sur la durée.
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C’est un peu l’enfant illégitime de The Man From U.N.C.L.E. et de Spider-Man: Into the Spider-Verse. Alors oui, l’image est un petit peu zarby et déviante, mais c’est exactement ça : un score zarby, déviant, et complètement réussi. Pemberton ne cesse de m’étonner.
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