|
La grande aventure, ce n’est sûrement pas cette trahison du chef d’œuvre de Jack London, avec chiens en synthèse moche et script édulcoré à la Disney. Heureusement, la grande aventure pour Powell , c’est aussi un score ample mâtiné de folk, thématiquement trop proche de la trilogie des Dragons, mais professionnel jusqu’au bout des coussinets.
|
|
Rien à dire quant au cahier des charges, parfaitement respecté, avec des thèmes, un entrain et un souffle d’aventure dans la lignée des Dragons sans pour autant se hisser à leur niveau. Une routine réussie pour Powell (certains passages pour chœur font dresser l’oreille) mais une routine tout de même, c’est certainement la limite de la chose.
|
|
On est d’accord, c’est l’histoire d’un chien pugnace et d’un aventurier grognon. Du coup, il y a la guitare et la petite flûte des grands espaces américains. Mais Powell y met tellement de chœur, de crescendo lyrique et d’emphase qu’on a parfois l’impression d’écouter le Seigneur des Anneaux. Ce gars a vraiment gardé la flamme.
|
|
Un bon score d’aventure à l’ancienne, qui fleure bon les grands espaces, la neige, l’amitié et la rudesse de la nature sauvage. Cette nouvelle version de L’Appel de la Forêt a inspiré le compositeur, même s’il est en terrain connu, plus qu’en terre inconnue. Alors, quand la forêt vous prend, prenez-en !
|
|
Sans atteindre le niveau des How To Train Your Dragon, voici une B.O. très sympa avec de l’action, de l’aventure, des grands espaces et des sentiments. Avec une pointe d’americana et une touche de celtique, John Powell persiste et signe comme un spécialiste du genre.
|