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Powell a mis les petits plats dans les grands pour boucler la trilogie qu’il a si admirablement mise en musique : pléthore de superbes nouveaux thèmes, réintroduction savamment dosée des thèmes des deux précédents épisodes et, d’une manière générale, une émotion de chaque instant et un panache flamboyant qui jamais ne s’essouffle.
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Confortablement installé dans la franchise, Powell s’appuie sur les formidables thèmes qui ont fait leurs preuves, en brosse quelques nouveaux eux-mêmes fort réussis, et injecte suffisamment d’émotions pour faire frissonner son audience : pas d’apothéose pour autant, mais une conclusion fort satisfaisante à une trilogie maîtrisée.
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Très beau final pour une trilogie dont la cohérence musicale peut faire rougir bien des concurrents : Powell a su faire évoluer ses thèmes d’un film à l’autre aux côtés des personnages, en se réinventant suffisamment pour respecter l’identité de chaque opus, ici la mélancolie des adieux, et la majesté enchanteresse et chorale du monde caché.
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Les nouveaux thèmes ne sont pas aussi immédiatement mémorisables que ceux des deux précédents opus. Néanmoins, quand vous les avez bien en tête, les combinaisons et les variations sur les thèmes connus feront naitre en vous une certaine jubilation. L’écriture du compositeur est ici plus fine et vivifiante que jamais. Du beau travail.
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Le score du mois, rien que ça ! Powell clôt la trilogie en beauté. Les nouveaux thèmes sont moins accessibles au premier abord, mais ça s’arrange très vite après une ou deux écoutes attentives. Et les thèmes des deux premiers opus sont de retour sous de multiples variations. Armada Battle et As Long As He’s Safe, c’est juste jouissif…
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