Don’t Worry Darling (John Powell)

UnderScorama • Publié le 31/10/2022 par

DON’T WORRY DARLING (2022)
Compositeur : John Powell
Éditeur : WaterTower Music
Format : Digital
Date de sortie : 16/09/2022

3.5 out of 5 stars
Florent Groult Approche électro-orchestrale ad hoc et ambitieuse loin des (over)doses symphoniques qui font sa notoriété publique : aux côtés de chansons qui illustrent un cadre idéal, Powell met en scène une vision mentale parallèle qu’il traduit par des lignes musicales abstraites, déformées, et un traitement expressionniste et oppressant de la voix féminine.
4.5 out of 5 stars
Franck Le Roux « Don’t Worry, Be Happy ! » préconise ce bon Bobby… Et il suffit pour ça d’écouter un autre album. Powell vise surtout le fonctionnel et l’efficacité au détriment du plaisir d’écoute. Son score est effectivement efficace, renforçant le sentiment d’oppression et de malaise. Hélas, c’est aussi peu intéressant à écouter, malgré de bonnes idées.
2.5 out of 5 stars
Milio Latimier Un travail inhabituel pour Powell. Le récit est psychologique, sombre, tendu, torturé. Il joue énormément avec des effets vocaux, supportés par des cordes et des textures menaçantes. Malaisant et obsédant à la fois, le résultat est sacrément efficace et assez impressionnant.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Même quand Powell fait dans le conceptuel ou l’atmosphérique (voix féminine manipulée sous forme de râles et soupirs enregistrés par sa compagne), il y a toujours quelque chose de captivant dans son écriture et sa gestion de l’espace sonore. Ce score ne sera clairement pas chéri par tous.
3.5 out of 5 stars
David Lezeau Donc, ce nouvel Alien… Ah non, mais on s’y croirait. En plein trip électro, Powell use avec à-propos de voix féminines samplées (y compris dans un style slave) pour nourrir un univers oppressant, avec des points d’orgue à l’orchestre hyper dramatisants. Le résultat flirte parfois avec le vide, déstabilise tout en fascinant : l’objectif est atteint.
3.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Le film a l’air intriguant, mais niveau musique, il faudra attendre pour juger. Très difficile d’écoute hors contexte, mais très intéressant : gros travail sur des voix féminines distordues avec la participation d’Holly Sedillos, cordes proches de l’adagio, brusques poussées orchestrales. On est très loin de Dragons, et cela prouve le talent de Powell.
3 out of 5 stars