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Nul doute que sous cette forme plus complète intégrant de fort attrayantes respirations, l’écoute de la partition de Powell s’en trouve grandie. Pour autant, le fond reste le même : tout divertissant qu’il soit, ce score pèche trop souvent par excès jusqu’à l’éreintement pur et simple, sans parler des reprises sacrément foutraques des thèmes de Williams.
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C’est décidément la fête à Powell ces temps-ci ! L’énergie déployée et tous les efforts de développement sont, comme pour How To Train Your Dragon, remis en lumière dans une version enthousiasmante de ce qui est sans doute le seul véritable atout du film. En espérant que lui et/ou Giacchino reviennent dans l’univers starwarsien.
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Pourquoi ne pas avoir sorti un double CD de ce superbe score ? « Parce que ! » répondront les responsables de l’Empire… Disney. Rageant ! Powell est clairement à son aise dans le genre, mêlant ses nouvelles musiques à celles de Williams. Avec un score aussi foisonnant et vivifiant, on peut être certain que Santa Claus Is Coming To Town.
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Sur le coup, on a beaucoup reproché à Powell de ne pas être suffisamment dans le « ton Star Wars. » C’est pourtant sur ce terrain là que je l’attendais, conscient de n’être qu’à demi surpris, sans doute. Erreur. Powell, loin de se la jouer solo, s’approprie l’univers de Williams et l’intègre au sien (ultra-rythmique) avec beaucoup de talent. Vivement un CD.
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Un (sacré) coup de rallonge (40 minutes de plus quand même !) pour ce qui est certainement la meilleure B.O. de Powell avec les How To Train Your Dragon. Le compositeur, épaulé par les thèmes de Williams, s’approprie avec talent l’univers Star Wars, et ça part dans tous les sens. À l’écoute, vraiment pas le temps de s’ennuyer !
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