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Dans les grandes lignes, on a le droit au même mélange synthwave/orchestre/chœur qui gouvernait le premier volet, à ceci près que le résultat est encore moins engageant, le plus souvent excessivement bourratif, écrasant et moche, et par instant tellement cheap que cela en devient franchement ridicule. À oublier.
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Rupert Gregson-Williams est de retour, son travail sur le premier film ayant convaincu le réalisateur ou les producteurs. La musique est assez inégale et sent parfois la marée, surtout au niveau des synthés oldies, qui en raviront sûrement certains.RGW ne boit pas non plus la tasse et propose un score écoutable, même si transparent et oubliable.
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J’ai tenté l’écoute au sec puis dans mon bain, sans résultats probants. Cette B.O. Marvel est une B.O. Marvel, avec un thème héroïque accrocheur (cf. Grasshoppers), mais trop souvent gonflé aux anabolisants, puis dilué dans un océan de poiscaille pas fraîche. On peut aimer cette bouillabaisse, moi je jette l’éponge (de mer).
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Non. Non, vraiment, je ne peux plus. Cette musique pré-mâchée ne devient plus qu’une caricature d’un genre qui n’est déjà plus que l’ombre de lui-même. Cette « composition » d’un vide abyssal, plus grand encore que la Fosse des Mariannes, donne le vertige par son indigence et sa vacuité. In-sup-por-ta-ble.
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Retour de l’homme bulle-dibuildé, avec son compositeur. On ne change pas une équipe qui (ne) gagne (pas). Mélange électro et orchestre avec chœurs. Et je saigne toujours des esgourdes. Comme la première fois. Sauf qu’en plus j’ai vu le premier film depuis, et que je saigne aussi des yeux du coup…
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