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Quel petit bonheur que cette nouvelle double dose de Gregson-Williams ! L’alliance des deux frères sur cette série reste on ne peut plus fructueuse et le style affairé qu’ils développent ensemble s’avère une fois de plus tout à fait plaisant tant il est empli de mélodies charmantes, lumineuses et volontiers sensibles lorsqu’il le faut.
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J’avais bien aimé le score pour la première saison et je ne change donc pas d’avis pour cette suite, surtout que le duo se place dans la continuité. Un score toujours frais et chatoyant, peut-être toutefois un brin plus dramatique, que j’ose qualifier de généreux (je n’ai peur de rien !), surtout en cette période où la médiocrité est devenue la norme.
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Les récits « historiques » (dans mon enfance on disait « à costumes ») et familiaux ont la côte. Ici, on a les deux. Loin du romantisme à la North & South, Harry et Rupert restent à hauteur humaine avec un sens de la mélodie, une ampleur mesurée, et une bonne humeur contagieuse : si l’ensemble surprend peu, voilà une B.O. parfaitement troussée.
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J’ai toujours préféré Harry à Rupert. De là à dire que ce score est plutôt bien conçu et qu’on peut en remercier Harry, il n’y a qu’un pas… que je franchis. Bien entendu, série en costumes oblige, il y a des moyens (des cordes, des bois, un piano) et des mélodies (pas réellement mémorables ceci-dit). Mais j’aime quand même.
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Second opus pour Harry et Rupert Gregson-Williams. C’est toujours aussi agréable, léger et bien vu malgré la durée. Et si les deux frères bossaient un peu plus souvent ensemble ?
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