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Une partition romantique aux mélodies jolies mais interchangeables, et le gros son Remote Control qui déboule dès que ça s’agite ou que ça tente de s’envoler un peu. Bref, un score totalement inoffensif, mais pas désagréable à l’oreille. C’est déjà ça de gagné.  |
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Quand elle n’est pas parasitée dans ses aspects les plus sombres par quelques tics agaçants typiques du Zimmer d’aujourd’hui, la magie ronronne d’abord plutôt joliment au coin du feu. Mais l’ensemble s’avère finalement creux et soporifique.  |
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Bof. De l’ambiance, des passages plutôt sympathiques avec du waterphone, mais rien qui me donne envie d’y retourner. M’enfin ça reste de bonne facture et c’est agréable à écouter. C’est déjà ça.  |
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Zimmer, souvent, c’est comme Man Of Steel, soit totalement inécoutable. Mais parfois, ça sort un peu du lot, comme ce Winter’s Tale, plutôt joli sans être transcendant. Peut-être qu’on doit ça en partie à Gregson-Williams ?  |
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Un joli score romantique avec force piano et cordes, et les mimiques RCP dès que ça s’agite. Le tout s’oublie bien vite. Il manque une touche d’originalité, du lyrisme et une thématique plus marquée pour complètement emporter l’adhésion.  |