300: Rise Of An Empire (Tom Holkenborg / Junkie XL)

UnderScorama • Publié le 15/04/2014 par

300: Rise Of An Empire300: RISE OF AN EMPIRE (2014)
Compositeur : Tom Holkenborg (Junkie XL)
Éditeur : WaterTower Music
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1 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Junkie XL pousse les VU-mètres dans leur derniers retranchements avec un barrage sonore qui n’a rien de musical. Les enceintes vibrent, les murs tremblent, les vitres se fendillent, et pourtant, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre.
0 out of 5 stars
Florent Groult Junkie XL avait-il pour consigne quelque chose de plus sérieux que d’agresser tout conduit auditif de la manière la plus écrasante possible ? Ce qui est sûr en tout cas, c’est que tout cela ne répond strictement à aucun besoin de l’image ou du récit.
0 out of 5 stars
Pierre Braillon Junkie XL radicalise et assèche quinze ans de musique de péplum à la Gladiator, et remet les compteurs à zéro avec ce disque qui, s’il a la difformité d’un monstre, en a aussi la repoussante beauté et la formidable pulsion vitale.
4 out of 5 stars
Baptiste Brylak On peut très simplement résumer la sensation qui se dégage de cette partition :
« BRAAAAAAHHH ». Alors bon, pourquoi pas ? Mais non. Fun fact : l’auto correcteur veut absolument changer Junkie XL en Jaunie XL. Love it.
0 out of 5 stars
Sébastien Faelens Volontairement agressif, brouillon et assez laid : le genre de score qui aurait mérité un bon dégraissage. De la testostérone bien mal placée en somme.
1 out of 5 stars
Olivier Galliano Celui-là, c’est mon chouchou du mois. Une révélation. Le boom boom woob woob (© Marque Déposée) dans toute sa splendeur. Avec une touche orientale d’une subtilité défiant des milliers d’années de compositions musicales. Putain que c’est bon !
0 out of 5 stars
Benjamin Josse Nos chers spartiates gueulards sont de retour ! Dans leur sillage, le rock graisseux du premier opus n’a pas molli et balance ses riffs furibards avec toujours autant de délicatesse. Chastes oreilles s’abstenir.
1.5 out of 5 stars
Olivier Soudé Comme on pouvait s’y attendre, le score rappelle celui de Bates pour le film précédent, avec force percussions électroniques et soli de cordes. Le tout aboutit à une bouillie qui passe avec les images, mais pas à l’écoute seule.
1.5 out of 5 stars