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Toprak a pris le mot « mighty » au pied de la lettre en contribuant largement au format XXL de cette nouvelle aventure. On n’attendait pas une telle débauche d’énergie fun et cuivrée pour pareille production : c’est bien simple, c’est ce que la compositrice a produit de plus super-héroïque jusqu’ici dans sa filmo, loin devant son Captain Marvel.
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Musique d’aventures dans la lignée de celles courant derrière les succès de Powell dans le domaine. Large orchestre, électronique, chœurs, des thèmes et motifs qui font leur effet (mixage un peu trop flashy ?)… Action vitaminée, mystère, bons sentiments et efficacité bien calibrée (Debney n’est pas loin).
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La Pat’ Patrouille passe à la vitesse supérieure avec l’aide de Pinar Toprak. Un score qui a du chien, même si évidemment toutou paraît plutôt convenu pour ce genre de produit. Bah, peu m’importe, car la musique est bien mighty, tout en réservant de jolis moments d’émotion. Finalement, j’ai connu la compositrice bien moins inspirée sur d’autres projets.
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Esprit d’aventure et mignonitude enfantine : la Pat’Patrouille réussit bien à Pinar Tobrak. Usant d’un orchestre plus naturel que ses collègues de One Piece, elle trousse un score dans la tradition des années 80-90, bien agréable à défaut d’être mémorable. Allez, un petit Mayday Call pour démarrer la journée !
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La carrière de Pinar est-elle en train de tourner au vinaigre ? Malgré un gros orchestre, une reprise du thème de la série (assaisonnée d’une flopée de cuivres bien gras) et des morceaux d’actions dynamiques mais trop génériques, on peut s’interroger. Mais c’est toujours mieux que de donner du rap et du R’n’B aux oreilles de nos pauvres enfants…
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Mes enfants sont trop grands, mes petits-enfants trop petits… J’ai donc loupé le phénomène Pat’Patrouille. Est-ce bien grave ? Pas sûr… En attendant, je me suis tapé consciencieusement l’écoute de la B.O. et le verdict est sans appel. Pinar Toprak sait bien bosser, mais y’a rien qui dépasse et je n’accroche définitivement pas.
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