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Une super-héroïne mise en musique par une femme pour une parité ultra-médiatisée. Et il faut admettre que Toprak ne démérite pas face à ses collègues masculins, parvenant sans peine à se hisser au niveau de médiocrité habituel des scores du genre. Dommage, on sait de ses autres travaux qu’elle vaut bien mieux qu’un Blake Neely en jupons.
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Ni pire ni meilleur que la moyenne avec un motif principal qui a plutôt du potentiel et même un mix électro-orchestral assez plaisant dans son genre. Pourtant, comment éprouver la moindre passion face à un ensemble aussi convenu ? Après Krypton, on se réjouit de sa nouvelle visibilité, mais on l’espère désormais sur de meilleurs terrains.
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Pardon, mais on imagine que le seul argument qui distinguait Toprak de la horde de ses concurrent pour être embauchée sur Captain Marvel, le grand film « féminin » Marvel, c’est justement d’être une femme. Elle fait le boulot aussi bien qu’un autre, avec une soupe synthorchestrale relevée en éléctro, mais plutôt sur haut du panier.
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Ce n’est pas le plus mauvais score du MCU, mais c’est quand même sacrément fadasse. Le thème, qui tient plus du leitmotiv, est assez banal. C’est d’autant plus dommage que la maitrise orchestrale est là (les cuivres sonnent très Elfman) et que la compositrice a du talent, déjà démontré antérieurement dans de bien jolies partitions.
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Pinar Toprak assume le costume en lycra : sons du moment et compositions cinétiques primaires, où résonnent fanfare presse-bouton et mesures mélodieuses quand c’est impératif. Médiocre mais plaisant par moments, le motif principal fait mouche, au rayon Marvel on a entendu pire. Bienvenue dans la A-list !
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