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Écriture orchestrale oscillant quelque part entre celles des RCP et de Sparks & Shadows et parsemée d’une multiplicité de styles (flamenco, rap, hip hop, jazz…) : difficile de résumer ces 4 heures plutôt divertissantes et tirant leur énergie justement d’un côté foutraque assumé, d’un instrumentarium divers et d’un thème central entraînant.
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Ouf, l’écoute a été sportive : une piste me file une patate d’enfer, la suivante me tape sur les nerfs ! L’énergie, la variété et la générosité (mélodique, instrumentale) dégagées me font apprécier l’ensemble (malgré des arrangements trop simples à mon goût). Et voilà un thème entêtant !
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Sonya et Giona (qui est un homme, n’en déplaise à certains sites) ont donné un thème à chaque protagoniste, leur attribuant un genre musical et un instrument, tout en insistant sur l’aspect aventures et pirates. Flirtant parfois avec la B.O. de The Witcher, un album long, assez fun et bien foutraque, qui prend sûrement son sens à la vision de la série.
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Soyons réglo : les femmes aussi ont le droit d’écrire de la zique bourrine. Ça dépote sans vergogne en mode pirate, ça sature de partout, avec cependant de l’imagination, une volonté de tout donner et une gaieté qui font la blague – au moins un temps. Pas trop mon genre mais c’est fun, et le One Piece Tango m’a émoustillé.
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La piraterie passée à la moulinette zimmeroïde a encore frappé. C’est gras, plein de doublures partout. Mais c’est normal, il faut faire du « gros son. » Quand cette épuisante médiocrité cessera-t-elle donc ? Vous êtes prévenus, si vous avez des tympans délicats, vous ne les récupèrerez pas en un seul morceau.
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