Deadly Blessing (James Horner)

UnderScorama • Publié le 15/08/2023 par

DEADLY BLESSING (1981)
Compositeur : James Horner
Éditeur : Intrada
Format : CD
Date de sortie : 27/06/2023

3.5 out of 5 stars
Florent Groult Il n’y a guère que les transis de Horner qui se persuaderont de la nécessité d’une telle exhumation et trouveront à s’extasier sur les quelques notes d’un lyrisme en devenir disséminées entre les multiples décalques (réclamés certes mais peu glorieux) du Omen de Goldsmith. Pour les autres, cette œuvre de jeunesse est une curiosité dispensable.
2 out of 5 stars
Milio Latimier Curiosité des débuts de Horner, on y entend de nombreuses formules musicales qu’il développera (mieux) par la suite. Album pour ses fans avant tout car le son inégal et l’influence très forte de The Omen mine parfois l’intérêt (mais montre bien la débrouillardise de Horner en dépit du budget serré).
3 out of 5 stars
Franck Le Roux Horner a glissé une grosse dose de mal dans sa partition. A croire que Satan l’habite. Ainsi, la gentille ambiance champêtre de La Ferme de la Terreur se mue peu à peu en ode aux Ténèbres. Avec son orchestre et ses chœurs, le compositeur s’est sûrement fait plaisir en allant musarder sur les terres du Omen de Goldsmith. Une belle découverte.
4 out of 5 stars
David Lezeau Un nouveau The Omen par Richard Band ? Omen-on, dites, c’est du Horner. Débutant, il s’endort trop sur le temp track (si c’est bien la cause) pour convaincre pleinement, mais ça reste écrit d’une croche accrocheuse, dont un thème bucolique pré-Amblin (nous sommes en 1981). Sympa si, pour vous, calquer n’est pas mortel.
3 out of 5 stars
Christophe Maniez Encore sous influence goldsmithienne alors qu’il n’a que 27 ans, Horner sait déjà nous faire frissonner par un habile mélange orchestre / choeurs parfois bien flippant et pose les bases de ce qu’il fera dans le génial Aliens. Pour un film d’horreur, c’est plutôt un bon point, d’autant que, contrairement à aujourd’hui, il y a des thèmes !
4.5 out of 5 stars
Christophe Olivo On demande encore à cette époque au jeune compositeur débutant de faire à la manière de… The Omen, avec aussi un soupçon de Carrie pour le romantisme. Horner s’acquitte de la tâche haut la main, et même si quelques touches du futur grand sont déjà là, il faudra attendre un peu pour qu’il s’épanouisse.
3 out of 5 stars

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