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Price poursuit ses aventures documentaires sans réelle surprise, s’adaptant simplement aux imposants sujets dépeints avec ses lignes amples, ses figures ascendantes ou descendantes et son thème suffisamment accrocheur. Mais il y a toujours dans cette partition comme dans les précédentes une manière de célébrer le vivant qui interpelle.
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La piste An Unexpected Sight résume bien mon sentiment : un motif rythmique piqué directement de The Bourne Identity marié à une écriture orchestrale dramatique à la Trevor Jones (Geoff Alexander et Gareth Cousins y ont-il contribué ?). Un album fort agréable, dans la lignée de l’excellent The Hunt.
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En matière de documentaires animaliers, et d’animaux en tous genres, le bougre n’en est pas à son coup d’essai. Si l’ensemble n’est pas inoubliable, il n’en reste pas moins que ce score réserve de nombreux beaux moments, qui magnifient de sublimes images. Et en plus, comble du bonheur, ça s’écoute parfaitement hors images. A good Price !
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Le doc sur la vie aquatique est devenu un genre musical : blanches ou bleues, les baleines inspirent les compositeurs. D’un style plus actuel que Scott, Holdridge ou Fenton, Price s’y réfère avec talent, rythme l’image d’éléments « pop » sans négliger la grâce des bestiaux concernés. Signe positif : jamais je n’ai pensé « cétacé ».
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Price continue son exploration (sous-marine cette fois) du monde du vivant. Je n’ai jamais été passionné par sa musique de film, mais bien davantage par ses musiques de documentaires animaliers. Comme précédemment, il nous offre encore deci-delà quelques belles plages (de sable pas toujours très fin, mais agréables).
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Très beau voyage, avec une narration d’Andy Serkis. Price persiste dans la musique de documentaire, et il a bien raison ! Autant son opus sur les dauphins était léger, autant celui-ci est majestueux, toujours avec de très jolis thèmes.
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