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Et en voiture Simone ! Notre Bioman préféré appuie de nouveau comme un sourd sur le champignon, empruntant l’autoroute électro-rock-hip-hop-latino-orchestrale habituelle. Sans surprise, si le conducteur tient bien le bitume et évite les sorties de route, les passagers sont écrasés par les G dans leur siège, position pas forcément confortable.
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L’album est bien trop bourratif, cela dit, Tyler, avec le boum-boum de rigueur sur la saga, offre aussi ici un thème/motif de méchant qui fait le taff mais surtout quelques variations (pas assez !) sur le thème accrocheur introduit dans le 4. Entre autres, un Fast X qui lorgne sur Creed de Göransson…
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Attention, malgré la présence du « X », ce n’est pas la version porno d’un film célèbre. Cela dit, la franchise a toujours lorgné sur le « car porn ». Avec ce dixième épisode, Tyler signe sa septième participation à la saga qui fait pouët pouët. Un score qui a sûrement autant d’intérêt que le film. A réserver aux sourds et aux fans de Zimmy.
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L’intro vous propulse direct sur une speedway scintillante de LEDs, au volant d’un gamos tuné à mort. La suite accélère, débraye puis réaccélère en mode musique urbaine : à côté, le Speed de Mancina n’est qu’une balade de limaces musicologues dans le jardin de ma grand-mère. À vous de voir, ma note est une échappatoire.
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Franchement, qu’est-ce qu’on peut bien encore avoir à raconter dans cette franchise inintéressante depuis le début ? Rien. Et musicalement ? Bah rien non plus. Tous les clichés de la musique électro-orchestrale sont réunis en un seul score. En un sens, Captain « wesh-wesh » Tyler a de la constance.
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Alors non. Critique laconique.
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