Last Of Us (The) (Season 1) (Gustavo Santaolalla & David Fleming)

UnderScorama • Publié le 15/04/2023 par

THE LAST OF US (Season 1) (2023)
Compositeurs : Gustavo Santaolalla & David Fleming
Éditeur : Milan Records
Format : LP & Digital
Date de sortie : 27/02/2023

1.5 out of 5 stars
Florent Groult Continuité entre jeux et série, décision à la fois compréhensible et dommageable, les textures agressives et rêches étant ici assurées par Fleming tandis que Santaolalla, dont l’inspiration est toujours aussi sujette à caution, grattouille ses guitares. Chacun vantant par ailleurs les bienfaits du silence pour le récit, on aurait pu carrément se passer d’eux.
0.5 out of 5 stars
Milio Latimier Si toute la partie action-suspense (souvent signée Fleming mais pas que lui) s’avère basique et répétitive voire inintéressante, toute la facette émotionnelle à l’atmosphère désolée de Santaolalla fait mouche chez moi… Mais pas sur une telle durée (1h56) ! Gros travail de sélection en perspective.
2.5 out of 5 stars
Franck Le Roux Ayant déjà bossé sur les jeux vidéo, Santaolalla a été choisi pour être le compositeur principal de la série. Ici encore, il recherche plus l’émotion que l’action. Certes, mais qu’est-ce que c’est chiant ! Et ça dure 2 heures. Après l’écoute, j’en suis Gros-Jean comme devant. Ça a au moins le mérite de me rappeler pourquoi je n’aime pas sa musique.
1.5 out of 5 stars
David Lezeau Gustavo a la guitare qui le démange. On le savait, mais, ici doublé d’un compo-générateur d’ambient qui ferait perdre son Fleming à un zombie bouffé aux cordyceps, il manque de cordes à son manche : quand sa gratte ne nous réchauffe plus, c’est un désert de nullité. S’il n’en reste qu’un, pourvu que ce ne soit pas lui.
1.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Alors là j’ai fait un gros effort. Parce que Santaolalla, je ne peux pas. C’est du foutage de gueule oscarisé (et deux fois, en plus !). Mais j’ai écouté jusqu’au bout. Alors oui, reprise des thèmes du jeu vidéo. Oui, il y a des atmosphères « angoissantes » mais pour la construction narrative, on repassera…
1.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Très (trop) long. 66 extraits ! Santaolalla use de sa guitare sèche et délivre de temps en temps un joli thème. Le reste est atmosphérique, difficile à écouter hors contexte. La série aurait mérité un album bien plus ramassé, il y avait de quoi faire un chouette CD. Mais pourquoi se casser la nénette à l’heure du numérique ? Dommage.
2.5 out of 5 stars