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Mélodramatisme délicat pour piano, orchestre de chambre et petit ensemble choral féminin, un bien difficile exercice d’équilibre expressif pour lequel Fenton excelle, entre une certaine mélancolie voire une gravité lourde de sens mais jamais larmoyante, des accords ouverts plus souriants et un motif principal facile à fredonner.
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Partition pour formation modeste avec piano, cordes, clarinette, harpe et chœurs occasionnels. L’écoute est un vrai plaisir : on sent la volonté de raconter une histoire, d’exprimer les sentiments des personnages, à l’aide d’une écriture à la fois simple et méticuleuse. The Beth m’a rappelé The Winter Guest de Michael Kamen…
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Un score humain et sensible, mais aussi souvent très, trop même, larmoyant et mélancolique. A la vue de la bande-annonce, je m’attendais à une musique un tantinet plus légère. Cela dit, Fenton connaît son affaire et sa musique est plutôt jolie. Par contre, ce n’est pas vraiment le genre d’album à écouter les jours de spleen.
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Le british et souvent discret Fenton reconnecte son sonotone pour accompagner cette comédie douce-amère sur le grand âge. Il lâche rarement son déambulateur, mais c’est le sujet : cordes, piano au premier plan, plus un thème qui, vocalisé, prend la forme d’un hymne apaisé. Élégant et émouvant, ou ennuyeux, selon votre état d’esprit.
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Avec Fenton, on est quand même rarement déçu. Son thème, très intelligent, mâtiné (sous forme de clin d’œil, vu le contexte) de la berceuse Hush, séduit immédiatement, avec légèreté et bienveillance. Malheureusement peu employé, il laisse trop souvent la place à du scoring doux-amer un peu convenu.
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L’ami George Fenton est en verve en ce moment, et qui va s’en plaindre ? Voici en parallèle de son excellent travail sur les documentaires animaliers de la BBC une jolie B.O., élégante, nostalgique et souvent pleine d’humanité. Pas étonnant vu le sujet du film, adapté d’une pièce anglaise. Beau.
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