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Reprenant habilement des traits typiques des trois premiers films en doses modestes mais suffisantes, cette composition furieuse mêle électronique, sonorités acoustiques manipulées, sections de cuivres et de violoncelles, sans guère autre luminosité qu’un hautbois interrogateur. Un peu éreintant, mais comme toujours très travaillé.
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Wintory est une valeur sûre et ce score pour un jeu de survie et de tir, estampillé Alien, le prouve à nouveau. Il opte pour le maintien de la tension et le bourrinage, au fil des longs couloirs et des vastes halls remplis de hordes de xénomorphes. La grosse musique humaine est évidemment parasitée par d’étranges sons aliens. Un beau mélange.
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Wintory s’amuse comme un fou, invoquant un sentiment constant d’étrangeté à travers ses orchestrations inhabituelles, qui rappellent parfois un peu des délires de Danny Elfman. Plus énergique qu’oppressant, l’ensemble a même un côté rock. Très divertissant et intriguant.
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Si on excepte le fait que la pochette me fait penser à la Vache Qui Rit dont il ne resterait que le crâne bouilli, la musique de Wintory fait son office. Aux indispensables clins d’œil à Goldsmith, Horner et Goldenthal, Wintory tente d’ajouter sa patte avec un instrumentarium varié (mais prévisible). C’est néanmoins bien écrit mais déroutant.
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Variation plus que réussie dans l’univers musical d’Alien (versant vidéoludique), cette
« élite » vous en donne pour votre argent en termes de sons étranges, d’attente flippante et de charges belliqueuses, avec une sophistication louable dans la composition. Certains sound-designers devraient en prendre de la graine.
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Difficile de se faire une idée sans les images du jeu, mais l’ensemble est frénétique, et surtout Wintory arrive à garder l’esprit et le son Aliens, tout en déroulant son propre style et ses propres tonalités. Et rien que pour ça…
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