Une partition brute et râpeuse, qui glace les sangs par ses chants tribaux désespérés et le son rauque et dissonant d’une poignée de cordes, de cuivres et de percussions utilisés avec parcimonie, quand elle ne fend pas le cœur d’une terrible mélancolie. Superbe !
Après son méditatif Journey, Wintory frappe encore un grand coup dans le domaine du jeu vidéo grâce à une écriture exigeante pour chant, violon soliste, orchestre à vents, percussions. Souvent âpre mais fascinant et immersif. Quelle réussite !
La quintessence de l’esprit des sagas scandinaves. Plus épuré que radical, un exemple parfait d’illustration musicale de l’univers de la poésie scaldique et des légendes nordiques. Pour peu qu’on y soit sensible, un classique instantané.
Décidément, Wintory est un type étonnant : une recherche musicologique évidente, une forte implication émotionnelle et une stylisation intelligente. LA nouveauté de janvier !
LA MEGA CLAQUE DU MOIS. PAS LA PEINE DE DÉCRIRE, PARCE QUE VOUS ALLEZ L’ÉCOUTER ET VOUS ALLEZ KIFFER VOTRE RACE. HOP HOP HOP. (et non, je ne me prends pas pour la Mort du Disque-Monde)